Alerte pour une Action : La surveillance intensifiée et le harcèlement des Activistes Politiques de la Cordillère pourraient mener à plus de meurtres politiques

Récemment, des leaders et les bureaux de l'Alliance des Peuples de la Cordillère (CPA), BAYAN MUNA et d'autres organisations progressistes ont été mis sous la surveillance d'éléments suspectés d'appartenir à l'armée. En octobre 2005, il y a eu une tentative d'irruption dans le bureau du CPA par des inconnus qui ont coupé le courant et la ligne téléphonique, ont détruit le cadenas et ont essayé de forcer la porte. Quand un employé du CPA qui dormait dans le bureau a crié, les hommes sont partis en courant. A Noël, plusieurs camions aux fenêtres teintées étaient souvent garés à l'extérieur du bureau CPA et des appels téléphoniques menaçants pressaient ceux qui étaient de permanence de quitter les lieux.
De surcroît, beaucoup de membres de CPA, de Bayan Muna et d'autres dirigeants et activistes politiques ont nettement observé qu'ils étaient étroitement surveillés. Mme Jeanne Carling suivie de près par une moto suspecte en rentrant chez elle vers 20h00 en janvier a trouvé la serrure de sa porte d'entrée fracturée. Sa voiture a été cassée le 10 février dans la soirée, alors qu'elle était garée dans la rue. Des personnes inconnues ont été aussi vues, surveillant sa maison depuis cet incident. M. Windel Bolinget, Secrétaire général de CPA et Manny Loste, le Coordonnateur Régional et le Vice-président national de Bayan Muna la Cordillère sont aussi sous contrôle dans leurs maisons et bureaux. La femme de M. Ampi Mangile, le Vice-président de CPA, alors qu'elle se trouvait dans un secteur isolé, a failli être emportée de force dans un fourgon par des hommes à l'allure militaire, mais elle a résisté. Il y a trop d'incidents pour tous les mentionner, mais ils portent tous sur une surveillance qui s’est intensifiée et un harcèlement des leaders de La Cordillère, des activistes et autres organisations. Cette tendance est maintenant claire et peut mener très probablement au plus mauvais des scénario de meurtres d'activistes politiques.
Même si l'on s'attend à ce que l'armée nie tout plan militaire pour liquider des activistes de la Cordillère, les menaces restent très réelles et sérieuses. Il y a eu des meurtres inexpliqués d'activistes, de défenseurs de droits de l'homme et d'employés d'ONG dans différentes régions du pays depuis 2001, avec au total 272 cas avérés. La plupart de ces meurtres ont eu lieu après que les victimes ont été soumises à une surveillance intense par des agents soupçonnés être des militaires ou par leurs hommes de main. En particulier, trois employés d'ONG dans le Nord de Luzon ont été tués, l'année dernière, par ces hommes de main ou des éléments paramilitaires.
En attendant, le Président Gloria Macapagal-Arroyo reste silencieux et suffisant sur les meurtres continuels de dissidents politiques sans défense. En fait, les meurtres font partie d'une politique de son régime, consciente de détruire ses leaders clefs des organisations légales et populaires. Oplan Bantay Laya fixe clairement sans justification légale, sa politique de neutralisation des leaders d'organisations soupçonnées opposées. Cette politique du gouvernement de supprimer brutalement tous ceux qui appartiennent à des organisations progressives légales, sans défense face aux violences, illustre la complète indifférence pour des droits de l'homme du régime Arroyo.
Les règles et devoirs de la loi sont clairement ignorés et violés par le gouvernement dans cette tentative d'endommager et de paralyser des organisations légitimes en instillant la crainte parmi leurs membres et disciples. C'est une politique du gouvernement Arroyo très déloyale et lâche dont le pouvoir est d'abord appuyé par les armes à feu.
Ces leaders du mouvement de masse de la Cordillère sont des citoyens pacifiques, qui se battent pour une justice sociale, la paix, des droits de l'homme et la démocratie. Sans penser à eux, ils consacrent leur temps et leur énergie aux peuples, pour une transformation fondamentale de la société. Ils dénoncent la violation continuelle des droits de l'homme, des droits des peuples indigènes, ainsi que la politique économique et politique du régime Arroyo. Ils ne méritent pas d'être harcelés et traités comme "des criminels avec pour mention " tué pour avoir tuer l'ordre" par ceux qui revendiquent être les protecteurs des gens. N'importe quelle tentative au silence des activistes de Cordillère doit être dénoncée et accusée comme une violation ininterrompue de droits de l'homme et de la démocratie.
Nous invitons ainsi nos amis, nos partenaires et les citoyens pacifiques à dénoncer la surveillance continue, le harcèlement et les menaces sur les vies des activistes de la Cordillère. Aidez-nous à résister à la répression politique qui empire aux Philippines. Nous faisons appel à votre appui pour faire pression sur l'armée philippine et sur le régime Arroyo pour arrêter ces meurtres politiques et respecter les droits de l'homme.
SVP Écrivez des lettres de soutien et de protestation ainsi qu’une copie de votre lettre au CPA
MERCI
De surcroît, beaucoup de membres de CPA, de Bayan Muna et d'autres dirigeants et activistes politiques ont nettement observé qu'ils étaient étroitement surveillés. Mme Jeanne Carling suivie de près par une moto suspecte en rentrant chez elle vers 20h00 en janvier a trouvé la serrure de sa porte d'entrée fracturée. Sa voiture a été cassée le 10 février dans la soirée, alors qu'elle était garée dans la rue. Des personnes inconnues ont été aussi vues, surveillant sa maison depuis cet incident. M. Windel Bolinget, Secrétaire général de CPA et Manny Loste, le Coordonnateur Régional et le Vice-président national de Bayan Muna la Cordillère sont aussi sous contrôle dans leurs maisons et bureaux. La femme de M. Ampi Mangile, le Vice-président de CPA, alors qu'elle se trouvait dans un secteur isolé, a failli être emportée de force dans un fourgon par des hommes à l'allure militaire, mais elle a résisté. Il y a trop d'incidents pour tous les mentionner, mais ils portent tous sur une surveillance qui s’est intensifiée et un harcèlement des leaders de La Cordillère, des activistes et autres organisations. Cette tendance est maintenant claire et peut mener très probablement au plus mauvais des scénario de meurtres d'activistes politiques.
Même si l'on s'attend à ce que l'armée nie tout plan militaire pour liquider des activistes de la Cordillère, les menaces restent très réelles et sérieuses. Il y a eu des meurtres inexpliqués d'activistes, de défenseurs de droits de l'homme et d'employés d'ONG dans différentes régions du pays depuis 2001, avec au total 272 cas avérés. La plupart de ces meurtres ont eu lieu après que les victimes ont été soumises à une surveillance intense par des agents soupçonnés être des militaires ou par leurs hommes de main. En particulier, trois employés d'ONG dans le Nord de Luzon ont été tués, l'année dernière, par ces hommes de main ou des éléments paramilitaires.
- Roméo Sanchez, le Coordonnateur BAYAN MUNA de la Région Ilocos a été tué dans la Ville Baguio le 9 mars 2005.
- Le 28 novembre 2005, Pepe Manegdeg, un employé de l'Église des Missionnaires Ruraux des Philippines a été brutalement assassiné de 22 coups de feu à San Esteban dans Ilocos Sur .
- Le 29 novembre 2005, Albert Terredano, un avocat des Droits de l'homme et un employé du Département de Réforme Agraire ont été tués à Bangued, Abra.
En attendant, le Président Gloria Macapagal-Arroyo reste silencieux et suffisant sur les meurtres continuels de dissidents politiques sans défense. En fait, les meurtres font partie d'une politique de son régime, consciente de détruire ses leaders clefs des organisations légales et populaires. Oplan Bantay Laya fixe clairement sans justification légale, sa politique de neutralisation des leaders d'organisations soupçonnées opposées. Cette politique du gouvernement de supprimer brutalement tous ceux qui appartiennent à des organisations progressives légales, sans défense face aux violences, illustre la complète indifférence pour des droits de l'homme du régime Arroyo.
Les règles et devoirs de la loi sont clairement ignorés et violés par le gouvernement dans cette tentative d'endommager et de paralyser des organisations légitimes en instillant la crainte parmi leurs membres et disciples. C'est une politique du gouvernement Arroyo très déloyale et lâche dont le pouvoir est d'abord appuyé par les armes à feu.
Ces leaders du mouvement de masse de la Cordillère sont des citoyens pacifiques, qui se battent pour une justice sociale, la paix, des droits de l'homme et la démocratie. Sans penser à eux, ils consacrent leur temps et leur énergie aux peuples, pour une transformation fondamentale de la société. Ils dénoncent la violation continuelle des droits de l'homme, des droits des peuples indigènes, ainsi que la politique économique et politique du régime Arroyo. Ils ne méritent pas d'être harcelés et traités comme "des criminels avec pour mention " tué pour avoir tuer l'ordre" par ceux qui revendiquent être les protecteurs des gens. N'importe quelle tentative au silence des activistes de Cordillère doit être dénoncée et accusée comme une violation ininterrompue de droits de l'homme et de la démocratie.
Nous invitons ainsi nos amis, nos partenaires et les citoyens pacifiques à dénoncer la surveillance continue, le harcèlement et les menaces sur les vies des activistes de la Cordillère. Aidez-nous à résister à la répression politique qui empire aux Philippines. Nous faisons appel à votre appui pour faire pression sur l'armée philippine et sur le régime Arroyo pour arrêter ces meurtres politiques et respecter les droits de l'homme.
SVP Écrivez des lettres de soutien et de protestation ainsi qu’une copie de votre lettre au CPA
MERCI