
La première enquête de février 2006 de "l'UFC Que Choisir sur "le prix de l'eau dans les villes françaises" pointait les marges extraordinaires de Veolia et de Suez-Lyonnaise des Eaux, dans les villes qui, au détriment des usagers, leur avaient délégué leur service public d'eau et d'assainissement.
La seconde enquête qui sera rendue publique lundi 29 octobre confirmerait les mêmes résultats tout en révélant d'autres noms.
Des villes comme Marseille gérée par la Société des Eaux de Marseille (appartenant à 50/50 à Veolia et Suez) dont le président est aussi celui du Conseil Mondial de l'Eau (organisme de communication qui regroupe les grands majors de l'eau), Nice, Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Paris, Lille et le Syndicat des eaux d'Ile de France (présidé par A Santini),...sont citées par cette enquête. Ce qui semble encore une fois confirmer qu'une gestion de l'eau est particulièrement opaque quand elle est au seul profit des marchands d'eau.
La gestion des services publics de l'eau et de l'assainissement devient un enjeu de première importance à la veille des élections municipales. Le choix du retour en régie sous contrôle des citoyens-usagers devrait pouvoir s'exercer devant les résultats de ces enquêtes. Les nombreuses et nébuleuses "affaires " qui entourent la passation des marchés publics" confirment que l'intérêt général n'est pas respecté.
A Paris, M Delanoe et son conseil municipal doivent très prochainement choisir entre une gestion des services d'eau publique ou privée. Nous, "ACME" et "le collectif pour la remunicipalisation de l'eau à Paris", engageons Monsieur le Maire et son équipe à observer et comparer les collectivités de gauche comme de droite revenues en régie municipales ces cinq dernières années, à l'instar de Grenoble, Chatellerault, Cherbourg, Neufchateau, Castres, Venelles et Embrun. Les résultats de ce retour se calculent par la baisse du prix des services, l'économie d'eau, la transparence, la qualité du service rendu et le montant des investissements multipliés par deux voir trois.
Des Etats Généraux de l'Eaux organisés par "Eau Secours 31" le 8 décembre prochain à Toulouse réuniront nombre d'associations locales et nationales dont l'Acme-France et Anticor. Elles uniront leurs voix pour interpeller tous les candidats aux élections municipales sur le mode de gestion qu'ils préconisent et leur rappeler que l'eau, bien commun vital, n'est pas une marchandise.
JL Touly
Président de l'Acme France
www.acme-eau.org
06.80.60.03.01.
La seconde enquête qui sera rendue publique lundi 29 octobre confirmerait les mêmes résultats tout en révélant d'autres noms.
Des villes comme Marseille gérée par la Société des Eaux de Marseille (appartenant à 50/50 à Veolia et Suez) dont le président est aussi celui du Conseil Mondial de l'Eau (organisme de communication qui regroupe les grands majors de l'eau), Nice, Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Paris, Lille et le Syndicat des eaux d'Ile de France (présidé par A Santini),...sont citées par cette enquête. Ce qui semble encore une fois confirmer qu'une gestion de l'eau est particulièrement opaque quand elle est au seul profit des marchands d'eau.
La gestion des services publics de l'eau et de l'assainissement devient un enjeu de première importance à la veille des élections municipales. Le choix du retour en régie sous contrôle des citoyens-usagers devrait pouvoir s'exercer devant les résultats de ces enquêtes. Les nombreuses et nébuleuses "affaires " qui entourent la passation des marchés publics" confirment que l'intérêt général n'est pas respecté.
A Paris, M Delanoe et son conseil municipal doivent très prochainement choisir entre une gestion des services d'eau publique ou privée. Nous, "ACME" et "le collectif pour la remunicipalisation de l'eau à Paris", engageons Monsieur le Maire et son équipe à observer et comparer les collectivités de gauche comme de droite revenues en régie municipales ces cinq dernières années, à l'instar de Grenoble, Chatellerault, Cherbourg, Neufchateau, Castres, Venelles et Embrun. Les résultats de ce retour se calculent par la baisse du prix des services, l'économie d'eau, la transparence, la qualité du service rendu et le montant des investissements multipliés par deux voir trois.
Des Etats Généraux de l'Eaux organisés par "Eau Secours 31" le 8 décembre prochain à Toulouse réuniront nombre d'associations locales et nationales dont l'Acme-France et Anticor. Elles uniront leurs voix pour interpeller tous les candidats aux élections municipales sur le mode de gestion qu'ils préconisent et leur rappeler que l'eau, bien commun vital, n'est pas une marchandise.
JL Touly
Président de l'Acme France
www.acme-eau.org
06.80.60.03.01.