Plusieurs députés et sénateurs martiniquais et guadeloupéens, mais aussi des responsables d'organismes publics de l'eau, soutiennent cette initiative dont certains vont avec leur groupe politique à l'Assemblée Nationale et au Sénat élaborer un projet de texte demandant la création de cette commission d'enquête parlementaire : une discussion aura lieu sur ce sujet vital dès lundi à l'Assemblée Nationale
Plusieurs usagers martiniquais et guadeloupéens avec des comités de citoyens et d'usagers de l'eau partagent cette initiative et leurs mobilisations dans les 2 îles renforcent cette proposition dans le but de faire connaître cette problématique, qui n'a que trop durée, dans l'hexagone afin de demander des comptes et des remboursements aux gestionnaires et qu'un plan d'aides et d'investissements se concrétise rapidement : ce n'est pas la facture des usagers qui doit subventionner le retard pris en matière de renouvellement des canalisations et de réduction drastique des fuites de 2 départements français; de plus au vu du prix très élevé du m3 d'eau et d'assainissement TTC pratiqué en Martinique (entre 5 et 6 euros/m et en Guadeloupe (entre 5 et près de 8 euros/m3), il n'est pas possible de continuer de faire payer un tel prix pour un tel service d'autant qu'en métropole la moyenne du prix est de 3.86 euros/m3
Une députée martiniquaise a interpellé par courrier le Président de la République afin que cette commission d'enquête parlementaire soit diligentée
Seule la mobilisation de tous les usagers, déjà impactés par le chlordécone, et aussi des acteurs de l'eau pourra permettre enfin que des solutions soient rapidement mises en oeuvre car l'eau est notre bien commun encore plus dans cette période de crise sanitaire.
L'accès à une eau potable en qualité et en quantité suffisante et à des installations sanitaires est un droit de l'homme fondamental reconnu par l'ONU depuis juillet 2010
Pour l'ACME et le FRICC, le 24 mai 2020
Eric DARQUES Jean Luc TOULY 06.80.60.03.01.
Plusieurs usagers martiniquais et guadeloupéens avec des comités de citoyens et d'usagers de l'eau partagent cette initiative et leurs mobilisations dans les 2 îles renforcent cette proposition dans le but de faire connaître cette problématique, qui n'a que trop durée, dans l'hexagone afin de demander des comptes et des remboursements aux gestionnaires et qu'un plan d'aides et d'investissements se concrétise rapidement : ce n'est pas la facture des usagers qui doit subventionner le retard pris en matière de renouvellement des canalisations et de réduction drastique des fuites de 2 départements français; de plus au vu du prix très élevé du m3 d'eau et d'assainissement TTC pratiqué en Martinique (entre 5 et 6 euros/m et en Guadeloupe (entre 5 et près de 8 euros/m3), il n'est pas possible de continuer de faire payer un tel prix pour un tel service d'autant qu'en métropole la moyenne du prix est de 3.86 euros/m3
Une députée martiniquaise a interpellé par courrier le Président de la République afin que cette commission d'enquête parlementaire soit diligentée
Seule la mobilisation de tous les usagers, déjà impactés par le chlordécone, et aussi des acteurs de l'eau pourra permettre enfin que des solutions soient rapidement mises en oeuvre car l'eau est notre bien commun encore plus dans cette période de crise sanitaire.
L'accès à une eau potable en qualité et en quantité suffisante et à des installations sanitaires est un droit de l'homme fondamental reconnu par l'ONU depuis juillet 2010
Pour l'ACME et le FRICC, le 24 mai 2020
Eric DARQUES Jean Luc TOULY 06.80.60.03.01.