Suite à des propos tenus lors d’une émission sur France culture en mars 2001 dans laquelle il relate différentes pratiques concernant les multinationales dans les contrats de délégation de distribution d’eau : surfacturation, corruption, protecti
En fait Jean Philippe Joseph, qui aurait tout aussi pu évoquer l’opacité endémique ou les ententes illicites dans ce genre de contrats, ne fait que reprendre des critiques encore récemment défendue par la presse, par des organes de contrôle de la vie publique (Haut Conseil de la Concurrence, Cours des Comptes, rapports parlementaires…) ou qu’ont sanctionnées plusieurs procès.
D’ailleurs de plus en plus d’élus, se dressant contre ces abus, plébiscitent le retour à une régie directe ou à défaut une renégociation forte qui peut atteindre 30% du prix ! !
Il ajoute que ces multinationales, après avoir profité des largesses du secteur public pendant des années en France, exportent cette « école française de l’eau » partout dans le monde tout en continuant de prôner un monde libéralisé dépourvu de tout contre pouvoir politique. Il y a-t-il là matière à être traîné en justice ?
Au fond La Lyonnaise des Eaux, pourrait bien se mordre les doigts d’avoir ainsi placer le sujet sur la place publique.
Les associations ATTAC et ACME soutiennent Jean Philipe Joseph dans son action.
Elles espèrent par ailleurs que le procès, qui se déroulera le 15 et 17 octobre à Paris, sera l’occasion de faire la lumière sur des pratiques qui, tout en favorisant le détournement abusif de l’argent public, écartent le service public de sa mission.
Nous insistons à cette occasion sur la nécessité d’organiser enfin pour ces services une réelle participation citoyenne et une réintégration au sein de régie directe, seules garde fous contre ces dérives et uniques garantes de l’intérêt général.
Contact :
Jean Luc TOULY : ACME : touly@acme-eau.com
:06 80 60 03 01
Thierry ADAM : ATTAC : t-adam@club-internet.fr
: 06 75 38 19 11
D’ailleurs de plus en plus d’élus, se dressant contre ces abus, plébiscitent le retour à une régie directe ou à défaut une renégociation forte qui peut atteindre 30% du prix ! !
Il ajoute que ces multinationales, après avoir profité des largesses du secteur public pendant des années en France, exportent cette « école française de l’eau » partout dans le monde tout en continuant de prôner un monde libéralisé dépourvu de tout contre pouvoir politique. Il y a-t-il là matière à être traîné en justice ?
Au fond La Lyonnaise des Eaux, pourrait bien se mordre les doigts d’avoir ainsi placer le sujet sur la place publique.
Les associations ATTAC et ACME soutiennent Jean Philipe Joseph dans son action.
Elles espèrent par ailleurs que le procès, qui se déroulera le 15 et 17 octobre à Paris, sera l’occasion de faire la lumière sur des pratiques qui, tout en favorisant le détournement abusif de l’argent public, écartent le service public de sa mission.
Nous insistons à cette occasion sur la nécessité d’organiser enfin pour ces services une réelle participation citoyenne et une réintégration au sein de régie directe, seules garde fous contre ces dérives et uniques garantes de l’intérêt général.
Contact :
Jean Luc TOULY : ACME : touly@acme-eau.com
:06 80 60 03 01
Thierry ADAM : ATTAC : t-adam@club-internet.fr
: 06 75 38 19 11