Le Bureau national d’ACME-Maroc a tenu le, 5 mars 2011, une réunion dans laquelle il a, entre autres, passé en revue les comportements des autorités publiques aussi bien pour ce qui concerne la poursuite de la ‘’privatisation’’ des eaux de source du pays (dont Ben S’mim est devenu un exemple emblématique) qu’en ce qui concerne la fuite en avant s’agissant de donner plus d’ampleur à la présence des sociétés privées de Gestion de l’eau au Maroc.
Dans le même sens, et après avoir enregistré la montée parmi la population marocaine, dans toutes les villes où opère la Gestion déléguée, d’une contestation de plus en plus forte de ce mode de gestion et des conséquences effectives qu’il eues, notamment sur les plus démunis, il a publié un communiqué où ACME-Maroc demande :
& L’ouverture d’enquêtes publiques – par le parlement et la justice - pour déterminer dans quelles conditions, et contre quelles contreparties effectives, les décisions de concéder la distribution de l’eau, de l’électricité et l’assainissement à des entreprises privées ont été prises pour les Collectivités urbaines de Casablanca/Mohammadia, Rabat/Salé et Tanger/Tétouan
& L’ouverture d’enquêtes au niveau de l’Instance nationale de prévention de la corruption et de la part de la justice en raison de soupçons de corruption dans la passation des contrats de Gestion déléguée et dans leur application
& La mise en place d’un processus de retour des villes sous Gestion déléguée au giron du public en raison des défaillances initiales attachées à la gestion privée et, de toutes façons, en raison de l’échec patent des sociétés privées à répondre convenablement aux impératifs de service public qui sont à la base de la distribution de l’eau, de l’électricité et à l’assainissement. A ce propos, ACME-Maroc apporte son soutien total à tous les mouvements organisés dans les villes marocaines contre la Gestion déléguée de leur eau potable et se considère comme partie prenante de toutes les luttes menées au Maroc contre l'appropriation privée de l'eau.
& Le retour en pleine possession publique des eaux de sources dont de nombreuses populations pauvres, et isolées, ont été spoliées à travers le Maroc. C’est plus particulièrement le cas des eaux de la source de Ben S’mim (vendues sous le nom mensonger de Aïn Ifrane), des eaux de Aïn Soltane, à Imouzzer du Kandar et des eaux de Aïn Saïss dans la région de Fès, en plus de toutes les autres, etc…La fin de l’économie de rente passant aussi par l’élimination de ce type de déni du droit, qui représente aussi un abus flagrant de biens publics.
Dans le même sens, et après avoir enregistré la montée parmi la population marocaine, dans toutes les villes où opère la Gestion déléguée, d’une contestation de plus en plus forte de ce mode de gestion et des conséquences effectives qu’il eues, notamment sur les plus démunis, il a publié un communiqué où ACME-Maroc demande :
& L’ouverture d’enquêtes publiques – par le parlement et la justice - pour déterminer dans quelles conditions, et contre quelles contreparties effectives, les décisions de concéder la distribution de l’eau, de l’électricité et l’assainissement à des entreprises privées ont été prises pour les Collectivités urbaines de Casablanca/Mohammadia, Rabat/Salé et Tanger/Tétouan
& L’ouverture d’enquêtes au niveau de l’Instance nationale de prévention de la corruption et de la part de la justice en raison de soupçons de corruption dans la passation des contrats de Gestion déléguée et dans leur application
& La mise en place d’un processus de retour des villes sous Gestion déléguée au giron du public en raison des défaillances initiales attachées à la gestion privée et, de toutes façons, en raison de l’échec patent des sociétés privées à répondre convenablement aux impératifs de service public qui sont à la base de la distribution de l’eau, de l’électricité et à l’assainissement. A ce propos, ACME-Maroc apporte son soutien total à tous les mouvements organisés dans les villes marocaines contre la Gestion déléguée de leur eau potable et se considère comme partie prenante de toutes les luttes menées au Maroc contre l'appropriation privée de l'eau.
& Le retour en pleine possession publique des eaux de sources dont de nombreuses populations pauvres, et isolées, ont été spoliées à travers le Maroc. C’est plus particulièrement le cas des eaux de la source de Ben S’mim (vendues sous le nom mensonger de Aïn Ifrane), des eaux de Aïn Soltane, à Imouzzer du Kandar et des eaux de Aïn Saïss dans la région de Fès, en plus de toutes les autres, etc…La fin de l’économie de rente passant aussi par l’élimination de ce type de déni du droit, qui représente aussi un abus flagrant de biens publics.