A la veille de l'audience du TGI de Point à Pitre concernant l'affaire du SIAEAG, l'ACME et le FRICC (représentant local Jacques Davila) soutiennent le Comité de l'Eau, les associations et collectifs de défense des intérêts des usagers du service public de l'eau de Guadeloupe face à la gestion désastreuse du service public de l'eau et de l'assainissement depuis des décennies déléguée par les collectivités à des multinationales comme la Générale des eaux Guadeloupe et à la mauvaise qualité de l'eau notamment à l'utilisation pendant de nombreuses années du Chlordécone, véritable scandale sanitaire d'Etat.
Paris, le 11 septembre 2019
Pour l'Association pour le Contrat Mondial de l'Eau et le Front Républicain d'Intervention Contre la Corruption
Jean Luc Touly porte parole de l'ACME France et président du FRICC
17, rue de l'abattoir 91320 Wissous
www.acme-eau.org
http://fricc.over-blog.com
Bonsoir. A la veille de l'audience du TGI, ou nous espérons que l'affaire débutera enfin et sera jugée, nous t'assurons de notre solidarité,car ce qui nous unis est beaucoup plus important que ce qui pourrait nous opposer. Le service public de l'eau, comme tous les autres, ne tolère ni la vacance, ni le laisser aller, et encore moins l'incompétence chronique et les usagers-victimes ne peuvent attendre indéfiniment, que ceux qui ont la charge régalienne de les défendre, d'assurer leur protection en tant que consommateurs, sortent du "LABOUGRA" ou le "PAS DE VAGUES " administratifs et le " I BON KON SA " ont conduit les clients-consommateurs à un déficit global des régies de 200 millions d'euros, dont les responsables, auteurs-acteurs des irrégularités qui ont conduit à ces dysfonctionnements récurrents, s'auto-exonèrent de toutes responsabilités. ceci ne saurait perdurer, le procès de demain n'est que le prélude des actions en cours, et à venir, car outre la sanction électorale que les usagers ne manqueront pas de prendre, en son temps,, les sanctions administratives, pécuniaires, et judiciaires seront prises à l'encontre de toutes les parties prenantes à ces affaires qui ne sauraient perdurer, dont le prélèvements des précomptes sociaux, fiscaux, octroi de mer et redevances à l'Office de l'Eau, non reversés, ce qui relève du pénal, et auquel, la CRC devrait, de même que la DIECCT, le Défenseur des Droits, et le parquet s'intéresser, afin que cesse ces habitudes et pratiques obérant la résolution des problèmes qui ne sauraient perdurer.
Il SUFFIT. Que la JUSTICE passe, ENFIN.!
NUL N'ETANT AU DESSUS DU DROIT COMMUN......
Jacques DAVILA
Secrétaire Général de C.2.E
Délégué local du FRICC
(FRONT RÉPUBLICAIN des INDÉPENDANTS CONTRE LA CORRUPTION)
Paris, le 11 septembre 2019
Pour l'Association pour le Contrat Mondial de l'Eau et le Front Républicain d'Intervention Contre la Corruption
Jean Luc Touly porte parole de l'ACME France et président du FRICC
17, rue de l'abattoir 91320 Wissous
www.acme-eau.org
http://fricc.over-blog.com
Bonsoir. A la veille de l'audience du TGI, ou nous espérons que l'affaire débutera enfin et sera jugée, nous t'assurons de notre solidarité,car ce qui nous unis est beaucoup plus important que ce qui pourrait nous opposer. Le service public de l'eau, comme tous les autres, ne tolère ni la vacance, ni le laisser aller, et encore moins l'incompétence chronique et les usagers-victimes ne peuvent attendre indéfiniment, que ceux qui ont la charge régalienne de les défendre, d'assurer leur protection en tant que consommateurs, sortent du "LABOUGRA" ou le "PAS DE VAGUES " administratifs et le " I BON KON SA " ont conduit les clients-consommateurs à un déficit global des régies de 200 millions d'euros, dont les responsables, auteurs-acteurs des irrégularités qui ont conduit à ces dysfonctionnements récurrents, s'auto-exonèrent de toutes responsabilités. ceci ne saurait perdurer, le procès de demain n'est que le prélude des actions en cours, et à venir, car outre la sanction électorale que les usagers ne manqueront pas de prendre, en son temps,, les sanctions administratives, pécuniaires, et judiciaires seront prises à l'encontre de toutes les parties prenantes à ces affaires qui ne sauraient perdurer, dont le prélèvements des précomptes sociaux, fiscaux, octroi de mer et redevances à l'Office de l'Eau, non reversés, ce qui relève du pénal, et auquel, la CRC devrait, de même que la DIECCT, le Défenseur des Droits, et le parquet s'intéresser, afin que cesse ces habitudes et pratiques obérant la résolution des problèmes qui ne sauraient perdurer.
Il SUFFIT. Que la JUSTICE passe, ENFIN.!
NUL N'ETANT AU DESSUS DU DROIT COMMUN......
Jacques DAVILA
Secrétaire Général de C.2.E
Délégué local du FRICC
(FRONT RÉPUBLICAIN des INDÉPENDANTS CONTRE LA CORRUPTION)