Les organisateurs

Parmi les organisateurs du comite belge figurent l’Association Belge pour le Contrat Mondial de l’Eau (ACME), Belgaqua (la Fédération belge du secteur de l'eau), la Coordination gaz-électricité-eau de BXL, la CSC Services Publics, la CGSP, le CEDUC,le CNCD, le Comité Solidarité Bolivie, le SEDIF, 11.11.11, Green Belgium, le groupe AGCS du Forum Social de Belgique,MIR-IRG, Protos, ATTAC Wallonie-BXL, Anka Huma,ARPNS,APDO Namur,SCI, Oxfam Solidarité, Revista Brazil na Europa, le Forum bruxellois de lutte contre la pauvreté, des artistes et des personnalités altermondialistes comme Riccardo Petrella et François Houtart.
Des élus à tous les niveaux soutiennent le projet comme le sénateur Pierre Galand (PS) promoteur d'une résolution du Parlement belge sur l'accès à l'eau comme un droit et qui a accepté la présidence de ce comité belge, E. Huytebroeck, Ministre bruxelloise de l'Environnement et de la politique de l'Eau, J.-P. Brouhon échevin à Ixelles (XL citoyen), M. El Khattabi Président de l'IBDE et conseiller communal à Schaerbeek (ECOLO), D. Bourgeois consultante européenne pour la protection de l'environnement et des animaux et conseillère communale à Ixelles (MR-FDF).
Un comité organisateur international s'est également constitué le 24 juin à Milan. Il est constitué d'ONG de tous les continents et présidé par le parlementaire européen italien Roberto Musacchio ( Gauche Unitaire Européenne) et coordonnateur du groupe eau de l’intergroupe sur la mondialisation du Parlement européen.
Les organisateurs espèrent mobiliser la participation d’un millier de personnes des quatre coins de la planète.
Des élus à tous les niveaux soutiennent le projet comme le sénateur Pierre Galand (PS) promoteur d'une résolution du Parlement belge sur l'accès à l'eau comme un droit et qui a accepté la présidence de ce comité belge, E. Huytebroeck, Ministre bruxelloise de l'Environnement et de la politique de l'Eau, J.-P. Brouhon échevin à Ixelles (XL citoyen), M. El Khattabi Président de l'IBDE et conseiller communal à Schaerbeek (ECOLO), D. Bourgeois consultante européenne pour la protection de l'environnement et des animaux et conseillère communale à Ixelles (MR-FDF).
Un comité organisateur international s'est également constitué le 24 juin à Milan. Il est constitué d'ONG de tous les continents et présidé par le parlementaire européen italien Roberto Musacchio ( Gauche Unitaire Européenne) et coordonnateur du groupe eau de l’intergroupe sur la mondialisation du Parlement européen.
Les organisateurs espèrent mobiliser la participation d’un millier de personnes des quatre coins de la planète.
Pourquoi une Assemblée Mondiale des Elus et Citoyens pour l'Eau?
Encore aujourd’hui, 1,5 milliard de personnes n’ont pas accès à l’eau potable et 2,4 milliards manquent de services sanitaires avec les conséquences désastreuses pour l’hygiène et la santé que l’on connaît : 4.500 enfants meurent chaque jour de maladies liées à une telle situation. Les engagements pris par les pouvoirs publics au plan national et international ont été jusqu’à présent inadéquats et insuffisants. Il en est de même des actions menées par les collectivités locales et les organisations du monde économique, social et associatif. Un certain fatalisme semble l’emporter consistant à accepter comme inévitable la présence de milliards d’êtres humains sans eau dans le futur de l’humanité.
On assiste, cependant, à une prise de conscience forte de l’urgence de solutions concrètes efficaces à court et à long terme, notamment dans les pays du « Sud » où la « crise de l’eau » fait des ravages, et dans les pays du « Nord » où la « boulimie » productiviste et consommatrice a conduit à des dévastations sur large échelle des ressources hydriques. Ces dévastations des éco-systèmes doivent être arrêtés d'urgence et il y a lieu de procéder à un assainissement mondial des ressources hydriques.
L’Assemblée Mondiale des Elus et Citoyens pour l’Eau se veut, justement, le premier rendez-vous mondial où les acteurs impliqués donneront la priorité non pas aux affirmations rhétoriques d’objectifs mais aux engagement sur des mesures concrètes de changement.
Pour cette raison, l’accent de l’Assemblée est mis sur la participation des élus communaux, régionaux, nationaux et internationaux, des responsables des collectivités locales, des acteurs du monde économique et social, notamment les syndicats et les entreprises publiques d’eau, des représentants et des mouvements de la société civile.
On assiste, cependant, à une prise de conscience forte de l’urgence de solutions concrètes efficaces à court et à long terme, notamment dans les pays du « Sud » où la « crise de l’eau » fait des ravages, et dans les pays du « Nord » où la « boulimie » productiviste et consommatrice a conduit à des dévastations sur large échelle des ressources hydriques. Ces dévastations des éco-systèmes doivent être arrêtés d'urgence et il y a lieu de procéder à un assainissement mondial des ressources hydriques.
L’Assemblée Mondiale des Elus et Citoyens pour l’Eau se veut, justement, le premier rendez-vous mondial où les acteurs impliqués donneront la priorité non pas aux affirmations rhétoriques d’objectifs mais aux engagement sur des mesures concrètes de changement.
Pour cette raison, l’accent de l’Assemblée est mis sur la participation des élus communaux, régionaux, nationaux et internationaux, des responsables des collectivités locales, des acteurs du monde économique et social, notamment les syndicats et les entreprises publiques d’eau, des représentants et des mouvements de la société civile.
L’objectif principal de l’AMECE
Dès lors, l’objectif principal de l’AMECE est de faire rencontrer ces acteurs pendant trois jours et leur permettre de prendre des engagements communs sur des mesures et des actions visant :
Contacts:
- La concrétisation du droit à l’eau potable pour tous les habitants de la planète en l’espace d’une génération.
- La promotion au plan local, national et international de la sauvegarde et de la valorisation de l’eau en tant que bien commun, appartenant à toutes les espèces vivantes, patrimoine naturel et social de l’humanité.
- Assurer le financement public, par la fiscalité (y compris une fiscalité mondiale) des coûts associés à cette re-valorisation du droit à la vie pour tous et de l’état de l’eco-système Terre.
- La mise en place d’une participation effective et réelle des citoyens au gouvernement de l’eau, dans le cadre général d’une politique des biens communs et des services publics locaux intégrés, du local au mondial.
Contacts:
- Kim Lê Quang tél: 0499.43.93.50
- ou Judith Freys GSM: 0486.83.77.01