
Article de l'ACME du 30/05/06 : Greenpeace livre au Sénat 331 bouteilles d'eau radioactives destinées à chaque sénateur, qui étudieront à partir de 16h le projet de loi sur les déchets radioactifs
Dans l'Aube, Greenpeace a dénoncé "une contamination non expliquée de la nappe phréatique sous le site de Soulaines", qui a pris en 1992 le relais de celui de La Hague pour le stockage des déchets de faible et moyenne activités.
"L'Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, qui gère les centres) elle-même a mesuré une trace de tritium dans la nappe phréatique sous le site", selon le chargé de campagne Energie de Geenpeace, Fred Marillier.
"Ces valeurs sont toutes en dehors du seuil de détection, sauf pour une seule où l'on trouve une valeur de 13 à 15 becquerels par litre depuis à peu près un an et demi", a répondu à l'AFP le directeur du centre, Nicolas Riquart. Ce seuil de détection ne représente pas un danger pour la consommation, les seuils d'eau potable étant bien plus élevés, selon lui.
A La Hague, des militants de l'association écologiste ont prélevé et mis en bouteille de l'eau provenant de la nappe phréatique située à proximité du centre de stockage, qui a reçu plus de 500 000 m3 de déchets entre 1969 et 1994. Le directeur du centre de la Manche, Jean-Pierre Vervialle, a indiqué à l'AFP que cette présence de tritium (hydrogène radioactif) était due à un accident survenu en 1976. "Son impact sur la population est extrêmement faible et largement en-dessous des normes", a-t-il indiqué.
Dans l'Aube, Greenpeace a dénoncé "une contamination non expliquée de la nappe phréatique sous le site de Soulaines", qui a pris en 1992 le relais de celui de La Hague pour le stockage des déchets de faible et moyenne activités.
"L'Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, qui gère les centres) elle-même a mesuré une trace de tritium dans la nappe phréatique sous le site", selon le chargé de campagne Energie de Geenpeace, Fred Marillier.
"Ces valeurs sont toutes en dehors du seuil de détection, sauf pour une seule où l'on trouve une valeur de 13 à 15 becquerels par litre depuis à peu près un an et demi", a répondu à l'AFP le directeur du centre, Nicolas Riquart. Ce seuil de détection ne représente pas un danger pour la consommation, les seuils d'eau potable étant bien plus élevés, selon lui.
A La Hague, des militants de l'association écologiste ont prélevé et mis en bouteille de l'eau provenant de la nappe phréatique située à proximité du centre de stockage, qui a reçu plus de 500 000 m3 de déchets entre 1969 et 1994. Le directeur du centre de la Manche, Jean-Pierre Vervialle, a indiqué à l'AFP que cette présence de tritium (hydrogène radioactif) était due à un accident survenu en 1976. "Son impact sur la population est extrêmement faible et largement en-dessous des normes", a-t-il indiqué.