
L'Agence de l'eau Seine-Normandie vient de voter la fin d'un vieux privilège en vigueur de puis 1964, à savoir l'éxonération pour les villages de moins de 400 habitants de la redevance sur la pollution de l'eau.
La redevance s'élève normalement à 60 centimes par mètre cube d'eau. Richard Dartout, le chargé des relations institutionnelles au sein de l'Agence Seine-Normandie explique cette décision dans le "Parisien", décision qui aura comme répercution une augmentation du prix du mètre cube d'eau de 12 centimes chaque année. "C'est à cause de la nouvelle loi sur l'eau. Nous échelonnons cette mise en place pour ne pas pénaliser d'un seul coup les habitants des petites communes".
Bien évidemment, dans les communes concernées, les réactions sont mitigées. Pour Claude Cazaneuve, le maire de Gambaiseul, communes des Yvelines, le projet est difficile à remettre en cause. Cependant, il estime "tout de même qu'une telle mesure se conçoit beaucoup plus facilement si elle est assortie de contreparties" comme un échange de l'abandon de ce privilège, un soutien technique afin d'accélérer les "efforts en termes d'assainissement". "C'est un échange de bons procédés qui peut se négocier".
L'argent de cette redevance sert à financer la lutte contre les pollutions, à la protection des rivières et des nappes phréatiques. Dans cette optique, l'Agence de l'eau Seine-Normandie va investir 5 milliards d'euros dans les cinq prochaines années dans un vaste programme d'actions.
La redevance s'élève normalement à 60 centimes par mètre cube d'eau. Richard Dartout, le chargé des relations institutionnelles au sein de l'Agence Seine-Normandie explique cette décision dans le "Parisien", décision qui aura comme répercution une augmentation du prix du mètre cube d'eau de 12 centimes chaque année. "C'est à cause de la nouvelle loi sur l'eau. Nous échelonnons cette mise en place pour ne pas pénaliser d'un seul coup les habitants des petites communes".
Bien évidemment, dans les communes concernées, les réactions sont mitigées. Pour Claude Cazaneuve, le maire de Gambaiseul, communes des Yvelines, le projet est difficile à remettre en cause. Cependant, il estime "tout de même qu'une telle mesure se conçoit beaucoup plus facilement si elle est assortie de contreparties" comme un échange de l'abandon de ce privilège, un soutien technique afin d'accélérer les "efforts en termes d'assainissement". "C'est un échange de bons procédés qui peut se négocier".
L'argent de cette redevance sert à financer la lutte contre les pollutions, à la protection des rivières et des nappes phréatiques. Dans cette optique, l'Agence de l'eau Seine-Normandie va investir 5 milliards d'euros dans les cinq prochaines années dans un vaste programme d'actions.