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Si la Cour des comptes dénonce dans un rapport révélé mardi 10 février le fait qu'en France, celui qui pollue le plus n'est pas le plus taxé, ce n'est pas vraiment une nouveauté pour Delphine Batho. "Le constat dans le rapport de la Cour des comptes pose une question simple : 'qui décide ?, qui a le pouvoir quand on parle de l'eau ?'", assure l'ex-ministre de l'Écologie, qui réclame le rétablissement d'"une souveraineté démocratique sur la politique de l'eau".
"Des résistances extrêmement fortes"
"La première chose à faire est de revoir la gouvernance de la politique de l'eau, et de faire que les associations de consommateurs, de protection de l'environnement soient représentées dignement", explique la députée socialiste.
Delphine Batho revient sur les difficultés qu'il peut y avoir à faire avancer la politique de l'eau. "Les pressions des lobbys sont réelles", affirme-t-elle. "On voit des résistances extrêmement fortes, mais qui ne sont pas insurmontables si la position de l'État est claire".
Si la Cour des comptes dénonce dans un rapport révélé mardi 10 février le fait qu'en France, celui qui pollue le plus n'est pas le plus taxé, ce n'est pas vraiment une nouveauté pour Delphine Batho. "Le constat dans le rapport de la Cour des comptes pose une question simple : 'qui décide ?, qui a le pouvoir quand on parle de l'eau ?'", assure l'ex-ministre de l'Écologie, qui réclame le rétablissement d'"une souveraineté démocratique sur la politique de l'eau".
"Des résistances extrêmement fortes"
"La première chose à faire est de revoir la gouvernance de la politique de l'eau, et de faire que les associations de consommateurs, de protection de l'environnement soient représentées dignement", explique la députée socialiste.
Delphine Batho revient sur les difficultés qu'il peut y avoir à faire avancer la politique de l'eau. "Les pressions des lobbys sont réelles", affirme-t-elle. "On voit des résistances extrêmement fortes, mais qui ne sont pas insurmontables si la position de l'État est claire".