C'est une bataille juridique à la barre du tribunal que préparent les associations des usagers d'eau. Finis les barrages sur la voie publique ? Une page se tourne peut-être...
Les représentants de plusieurs associations avaient donné rendez-vous à la population devant la mairie de Capesterre Belle-Eau pour l'informer des dernières évolutions administratives et judiciaires du dossier de l'eau et l'assainissement en Guadeloupe. Germain Paran du Comité de défense des usagers de l'eau de la Guadeloupe (CDUEG), Margaux Civis du Kolektif dlo Goubè (KDG), Jacques Davila, secrétaire Général du Comité de l'eau et de l'environnement (C2E), délégué local du Front Républicain d'Intervention Contre la Corruption (FRICC) et Harry Olivier du collectif citoyens Guadeloupe sont intervenus pour présenter les actions entreprises.
LES USAGERS INVITÉS À DÉPOSER PLAINTE
Tous les intervenants ont insisté sur la nécessité de privilégier un règlement de cette affaire devant les tribunaux, plutôt que sur les routes avec des barrages. Des avocats dont la présence était pourtant annoncée, étaient absents. Devant un auditoire très attentif, Germain Paran a tenu a expliquer que ces professionnels du droit préféraient pour l'instant travailler sur les dossiers et attendre les démarches judiciaires des usagers. Ces derniers pourront bénéficier d'un accompagnement des associations pour les formalités. Vont-ils en grand nombre franchir le pas ? En cas d'adhésion en masse à la démarche proposée, l'embouteillage risque bien de se déplacer des routes de Guadeloupe au bureau du procureur.
« Nous appuyer sur la justice pour réclamer nos droits »
Germain Paran croit à un dénouement judiciaire : « Nous avons constaté qu'en érigeant des barrages, nous bloquons des Guadeloupéens, les empêchant d'aller au travail alors qu'ils sont déjà en difficulté. Notre méthode a changé. Nous voulons passer en force en nous appuyant sur la justice afin de réclamer nos droits. Nous allons nous constituer partie civile et nous impliquer fortement dans ce combat. Nous souhaitons des actions concertées avec l'ensemble des associations »
Les représentants de plusieurs associations avaient donné rendez-vous à la population devant la mairie de Capesterre Belle-Eau pour l'informer des dernières évolutions administratives et judiciaires du dossier de l'eau et l'assainissement en Guadeloupe. Germain Paran du Comité de défense des usagers de l'eau de la Guadeloupe (CDUEG), Margaux Civis du Kolektif dlo Goubè (KDG), Jacques Davila, secrétaire Général du Comité de l'eau et de l'environnement (C2E), délégué local du Front Républicain d'Intervention Contre la Corruption (FRICC) et Harry Olivier du collectif citoyens Guadeloupe sont intervenus pour présenter les actions entreprises.
LES USAGERS INVITÉS À DÉPOSER PLAINTE
Tous les intervenants ont insisté sur la nécessité de privilégier un règlement de cette affaire devant les tribunaux, plutôt que sur les routes avec des barrages. Des avocats dont la présence était pourtant annoncée, étaient absents. Devant un auditoire très attentif, Germain Paran a tenu a expliquer que ces professionnels du droit préféraient pour l'instant travailler sur les dossiers et attendre les démarches judiciaires des usagers. Ces derniers pourront bénéficier d'un accompagnement des associations pour les formalités. Vont-ils en grand nombre franchir le pas ? En cas d'adhésion en masse à la démarche proposée, l'embouteillage risque bien de se déplacer des routes de Guadeloupe au bureau du procureur.
« Nous appuyer sur la justice pour réclamer nos droits »
Germain Paran croit à un dénouement judiciaire : « Nous avons constaté qu'en érigeant des barrages, nous bloquons des Guadeloupéens, les empêchant d'aller au travail alors qu'ils sont déjà en difficulté. Notre méthode a changé. Nous voulons passer en force en nous appuyant sur la justice afin de réclamer nos droits. Nous allons nous constituer partie civile et nous impliquer fortement dans ce combat. Nous souhaitons des actions concertées avec l'ensemble des associations »