
Le gouvernement gabonais a durement réprimandé vendredi le concessionnaire de la Société d'énergie et d'eau du Gabon (SEEG), le groupe français Veolia Water, rendu responsable de la "situation inacceptable" à l'origine d'une récente pénurie d'eau à Libreville.
"Les causes réelles de ces dysfonctionnements sont le fait d'un manque d'entretien du matériel hérité par le concessionnaire depuis la privatisation de la SEEG", a indiqué le Conseil des ministres dans son communiqué final.
Ces problèmes d'alimentation en eau courante ont également pour origine "sa volonté (du concessionnaire) de ne pas investir à court, moyen et long terme dans le renouvellement du matériel de production, de transport et de distribution de l'eau et de l'électricité sur le périmètre de la concession qui lui a été cédée", a également déploré le gouvernement.
"Face à cette situation inacceptable, le gouvernement rappelle au concessionnaire la nécessité et l'urgence qu'il y a à respecter scrupuleusement les obligations du service public de l'eau et de l'électricité au Gabon auxquelles il a souscrit", conclut-il.
Les abonnés de la SEEG dans la capitale gabonaise ont connu ces dernières semaines des soucis d'approvisionnement en eau courante à cause de la sécheresse et de pannes dans les stations de pompage. Le directeur général de la SEEG, André Paul-Apandina, avait ajouté que ces problèmes avaient été accentués par la tenue du sommet de l'Union africaine le 10 janvier.
Le capital de la SEEG, première entreprise publique gabonaise privatisée en 1997, est détenu à 51% par le groupe français Veolia Water.
"Les causes réelles de ces dysfonctionnements sont le fait d'un manque d'entretien du matériel hérité par le concessionnaire depuis la privatisation de la SEEG", a indiqué le Conseil des ministres dans son communiqué final.
Ces problèmes d'alimentation en eau courante ont également pour origine "sa volonté (du concessionnaire) de ne pas investir à court, moyen et long terme dans le renouvellement du matériel de production, de transport et de distribution de l'eau et de l'électricité sur le périmètre de la concession qui lui a été cédée", a également déploré le gouvernement.
"Face à cette situation inacceptable, le gouvernement rappelle au concessionnaire la nécessité et l'urgence qu'il y a à respecter scrupuleusement les obligations du service public de l'eau et de l'électricité au Gabon auxquelles il a souscrit", conclut-il.
Les abonnés de la SEEG dans la capitale gabonaise ont connu ces dernières semaines des soucis d'approvisionnement en eau courante à cause de la sécheresse et de pannes dans les stations de pompage. Le directeur général de la SEEG, André Paul-Apandina, avait ajouté que ces problèmes avaient été accentués par la tenue du sommet de l'Union africaine le 10 janvier.
Le capital de la SEEG, première entreprise publique gabonaise privatisée en 1997, est détenu à 51% par le groupe français Veolia Water.
UN EXEMPLE DE LA PRESENCE FRANCAISE EN AFRIQUE

Source de l'information www.IZF.net
LA PRÉSENCE FRANÇAISE DANS LES PAYS DE LA ZONE FRANC
La présence française dans les pays africains de la Zone franc est prédominante dans les pays francophones alors qu'elle demeure peu importante voire marginale dans les autres pays hispanophone ou lusophone, de la Guinée Équatoriale ou de la Guinée Bissau 1 qui ont rejoint cette zone après sa création.
1 L'IMPLANTATION DES ENTREPRISES FRANÇAISE EN ZONE FRANC :
Les entreprises françaises représentent l'essentiel de l'activité économique du secteur formel en Zone franc.
Les pays africains de la Zone franc représentent une destination d'implantation importante en Afrique pour les entreprises françaises
Nombre de filiales d'entreprises françaises par zone d'implantation en Afrique en 2002 Afrique 2.637 filiales d'entreprises implantées
Afrique subsaharienne 1.260 filiales d'entreprises implantées soit 48% des implantations en Afrique
Zone franc 731 filiales d'entreprises implantées soit 27 % des implantations en Afrique et 58% des implantations en Afrique subsaharienne
Source: Enquête filiales DREE
Pour 2002 et par rapport à l'année précédente, le nombre de filiales d'entreprises françaises progresse sur l'ensemble du continent africain avec une hausse de 13 %.
En Afrique subsaharienne et en Zone franc la tendance est inversée, avec des baisses respectives de 17% et de 9%.
Cette réduction de la présence française en Afrique subsaharienne s'explique notamment en Zone franc par une désaffection de la Côte d'Ivoire où le nombre de filiales d'entreprises françaises implantées est passé de 202 en 2000 à 172 en 2002 et au Gabon où le nombre de filiales d'entreprises françaises implantées est passé de 106 en 2000 à 81 en 2002.
A ces implantations de filiales françaises, il faut ajouter les entreprises de droit local contrôlées par des intérêts français qui représentent, de manière générale, entre la moitié et les deux tiers du secteur privé formel notamment en Afrique de l'Ouest, en particulier en Côte d'Ivoire et au Sénégal, mais aussi en Afrique centrale avec le Cameroun.
2 RÉPARTITION DE LA PRÉSENCE FRANÇAISE :
Une présence française importante dans des secteurs d'activité variés.
La présence des entreprises françaises, en dépit d'une crise qui a duré près de dix ans (depuis la fin des années 80), s'est maintenue à un niveau élevé tant au niveau des sociétés filiales d'entreprises françaises que des établissements de droit local contrôlés par des ressortissants français installés dans la zone.
Les intérêts français sont présents dans de très nombreux domaines d'activité, constituant un vecteur essentiel de développement économique et d'emploi.
Traditionnellement, s'agissant de filiales de grands groupes, les intérêts français dans les PAZF sont notamment bien représentés dans les secteurs des infrastructures tels que :
l'énergie (Total, Edf, Norelec, Alstom),
LA PRÉSENCE FRANÇAISE DANS LES PAYS DE LA ZONE FRANC
La présence française dans les pays africains de la Zone franc est prédominante dans les pays francophones alors qu'elle demeure peu importante voire marginale dans les autres pays hispanophone ou lusophone, de la Guinée Équatoriale ou de la Guinée Bissau 1 qui ont rejoint cette zone après sa création.
1 L'IMPLANTATION DES ENTREPRISES FRANÇAISE EN ZONE FRANC :
Les entreprises françaises représentent l'essentiel de l'activité économique du secteur formel en Zone franc.
Les pays africains de la Zone franc représentent une destination d'implantation importante en Afrique pour les entreprises françaises
Nombre de filiales d'entreprises françaises par zone d'implantation en Afrique en 2002 Afrique 2.637 filiales d'entreprises implantées
Afrique subsaharienne 1.260 filiales d'entreprises implantées soit 48% des implantations en Afrique
Zone franc 731 filiales d'entreprises implantées soit 27 % des implantations en Afrique et 58% des implantations en Afrique subsaharienne
Source: Enquête filiales DREE
Pour 2002 et par rapport à l'année précédente, le nombre de filiales d'entreprises françaises progresse sur l'ensemble du continent africain avec une hausse de 13 %.
En Afrique subsaharienne et en Zone franc la tendance est inversée, avec des baisses respectives de 17% et de 9%.
Cette réduction de la présence française en Afrique subsaharienne s'explique notamment en Zone franc par une désaffection de la Côte d'Ivoire où le nombre de filiales d'entreprises françaises implantées est passé de 202 en 2000 à 172 en 2002 et au Gabon où le nombre de filiales d'entreprises françaises implantées est passé de 106 en 2000 à 81 en 2002.
A ces implantations de filiales françaises, il faut ajouter les entreprises de droit local contrôlées par des intérêts français qui représentent, de manière générale, entre la moitié et les deux tiers du secteur privé formel notamment en Afrique de l'Ouest, en particulier en Côte d'Ivoire et au Sénégal, mais aussi en Afrique centrale avec le Cameroun.
2 RÉPARTITION DE LA PRÉSENCE FRANÇAISE :
Une présence française importante dans des secteurs d'activité variés.
La présence des entreprises françaises, en dépit d'une crise qui a duré près de dix ans (depuis la fin des années 80), s'est maintenue à un niveau élevé tant au niveau des sociétés filiales d'entreprises françaises que des établissements de droit local contrôlés par des ressortissants français installés dans la zone.
Les intérêts français sont présents dans de très nombreux domaines d'activité, constituant un vecteur essentiel de développement économique et d'emploi.
Traditionnellement, s'agissant de filiales de grands groupes, les intérêts français dans les PAZF sont notamment bien représentés dans les secteurs des infrastructures tels que :
l'énergie (Total, Edf, Norelec, Alstom),
- le BTP (Bouygues, Colas, Spie, Fougerolles, Dumez, Sogea, Razel, Jean Lefèvre),
- la grande distribution (Cfao),
- le transport (Air France),
- les services (Accor, BnpParibas, Société Générale, Crédit Lyonnais, groupe Bolloré, Véolia, Ondeo, Saur ... ),
- l'agro-industrie (Cfdt, Saupiquet, brasseries du groupe Castel, Cemoi, Lesaffre, ... ),
- l'industrie (Lafarge, Air Liquide, Vicat, Dagris),
- les télécommunications (France Télécom, Alcatel, Satom, ... ).
Les parts de marché françaises reflètent la prédominance de ses entreprises dans l'activité économique des pays de la zone.
En effet, la moyenne des parts de marché de la France, sur la période 1998-2001, est supérieure à 30% au Cameroun, aux Comores, au Sénégal, et au Tchad, et comprise entre 20% et 30% au Bénin, au Burkina, en Centrafrique, au Congo, en Côte d'Ivoire, au Gabon et au Niger.
En revanche, si les parts de marché de la France sont moins fortes au Togo, au Mali, et en Guinée équatoriale, elles s'établissent cependant entre 9% et 15%.
Pour illustrer l'importance des implantations françaises, on peut citer les case suivants :
- en Côte d'Ivoire , 172 entreprises filiales ou ayant des participations de sociétés françaises en 2002 qui emploient 45 021 personnes dont 620 expatriés et ont réalisé en 1999 un chiffre d'affaires supérieur à 1 500 MdFCFA, soit 2,2MdEUR, dans un contexte politique pourtant difficile,
- au Cameroun, 141 filiales d'entreprises françaises emploient près de 35 703 personnes,
- au Sénégal, 121 filiales recensées emploient 14 424 personnes (pour un total estimé entre 800 et 1000 entreprises formelles; on peut estimer globalement qu'au moins la moitié du chiffre d'affaires généré par le secteur formel est lié à des intérêts français).
- au Mali, la France a une présence économique forte et en progression : en 1993, on dénombrait 16 filiales d'entreprises françaises implantées au Mali et 72 à la fin 2002. Les entreprises françaises sont présentes dans la plupart des secteurs de l'économie malienne et elles constituent l'ossature du secteur formel.
- au Gabon , les 81 filiales d'entreprises françaises recensées emploient 14159 personnes dont 620 expatriés. Les privatisations : des succès au crédit des entreprises françaises.
Dans le cadre des privatisations, un certain nombre d'opérateurs français ont pris une place importante notamment dans les services publics marchands tels que l'eau, l'électricité ou encore les télécommunications.
La politique de privatisation a subi des retards dans l'ensemble des PAZF, et aujourd'hui plusieurs opérations sont en phase de lancement et n'ont pas encore été adjugées à des opérateurs.
Cependant, parmi les succès importants des entreprises françaises dans le cadre des privatisations, on peut mentionner :
- France Câbles et Radio (Fcr), filiale de France Télécom, a repris en 1997 les opérateurs sénégalais et ivoiriens (Sonatel, Citelcom) et a investi pour chacun d'entre eux à environ 1 MdFRF d'équipements. Au Cameroun, Fcr s'est vu attribuer, en 1999, la deuxième licence de téléphonie mobile ;
- La Saur (groupe Bouygues), en 1991, s'est portée acquéreur de la Compagnie Ivoirienne d'Electricité (Cie) et de la Sénégalaise des Eaux (Sde) en 1996; la société Eau et électricité du Mali (EDM SA) a été privatisée en faveur du groupement Saur et International-IPS.
- Le groupe Castel a obtenu l'un des deux blocs de la société Sodesucre, en Côte d'Ivoire
- Le groupe Bolloré faisait partie (à hauteur de 20%) du consortium qui a racheté l'un des deux blocs de la CIDT en Côte d'Noire. Au Cameroun, Bolloré (via sa filiale Saga), dans le cadre d'un consortium avec un groupement belgo-sud africain (Comazar) a obtenu la concession du service public du chemin de fer Regifercam devenu Camrail et via la Socfinco (49% groupe Bolloré) a pris à hauteur de 21 % le contrôle de la Socapalm ;
- Total a remporté un lot en 2001 lors de la privatisation par lots de la société des pétrolesPetroca, en République Centrafricaine.
- En Côte d'Ivoire, Air France a acquis 5 1 % de la compagnie Air Ivoire en 2001

vue du fleuve Congo en amont de Brazzaville Photo de JC Olivry
INFO EXPRESS DU CONGO-BRAZZAVILLE
- Célébration de la journée mondiale de l’eau :
L’humanité a célébré aujourd’hui, la journée internationale de l’eau sur le thème : «L’eau source de vie». A Brazzaville, le ministre de l’Energie et de l’Hydraulique, Bruno Itoua a visité les chantiers d’adduction d’eau potable, situés dans les quartiers Kombo, Massengo et Moukondo. M. Itoua a rendu public le message du Gouvernement relatif à cette journée dont voici un extrait : «La République du Congo dispose d’importantes ressources en eau avec une pluviométrie moyenne annuelle de près de 1600 mm d’eau, un réseau hydrographique très dense, ainsi qu’un écoulement total de 800 milliards de m3. Pourtant les principaux indicateurs de couverture des services d’approvisionnement en eau potable ne sont guère satisfaisants. En effet, aujourd’hui 69% de la population urbaine et seulement 11% de la population rurale du Congo ont accès à l’eau potable».
Retranscription du journal de 19h Radio-Congo, du mardi 22 mars 2005
Edition présentée par Adolphe Massounda
- Célébration de la journée mondiale de l’eau :
L’humanité a célébré aujourd’hui, la journée internationale de l’eau sur le thème : «L’eau source de vie». A Brazzaville, le ministre de l’Energie et de l’Hydraulique, Bruno Itoua a visité les chantiers d’adduction d’eau potable, situés dans les quartiers Kombo, Massengo et Moukondo. M. Itoua a rendu public le message du Gouvernement relatif à cette journée dont voici un extrait : «La République du Congo dispose d’importantes ressources en eau avec une pluviométrie moyenne annuelle de près de 1600 mm d’eau, un réseau hydrographique très dense, ainsi qu’un écoulement total de 800 milliards de m3. Pourtant les principaux indicateurs de couverture des services d’approvisionnement en eau potable ne sont guère satisfaisants. En effet, aujourd’hui 69% de la population urbaine et seulement 11% de la population rurale du Congo ont accès à l’eau potable».
Retranscription du journal de 19h Radio-Congo, du mardi 22 mars 2005
Edition présentée par Adolphe Massounda
INFO EXPRESS DU JOURNAL LE CHOC EN DIRECT DE BRAZZAVILLE

Enquête sur l’eau embouteillée à Brazzaville : le Gouvernement avait mis la charrue avant les bœufs 04/03/2005
La décision prise par les Ministres du Commerce, de l’Industrie et de la Santé de suspendre la commercialisation de l’eau Cristal produite par la société RAGEC est courageuse et salutaire pour toutes les parties, bien qu’elle semble être prise sous l’effet des rumeurs alarmantes. Cette mesure préventive n’est nullement dans le sens de nuire aux intérêts de la société RAGEC, mais d’apporter plus de lumière sur un problème qui touche la santé publique et qui peut avoir des effets néfastes sur les populations. Pour cela, des analyses supplémentaires sont diligentées pour déterminer la potabilité ou non de l’eau Cristal
Enquête exclusive sur l’eau embouteillée :
l’eau CRISTAL serait impropre à la consommation, le Chef de l’Etat devrait interpeller son Gouvernement 04/03/2005
Nous avons mené une enquête dans les sociétés SN PLASCO et RAGEC qui produisent et commercialisent l’eau embouteillée au Congo pour nous rendre compte de la qualité pure ou impure de cette eau consommée par les Congolais.
Toutes les deux sociétés nous ont fourni des documents prouvant que leurs produits sont absolument propres à la consommation humaine. Dans cette enquête nous avons également eu accès aux documents très compromettants sur la qualité de l’eau produite, commercialisée et consommée au Congo.
cp[Ces documents qui sortent des milieux suffisamment responsables ont évidemment attiré notre attention et nous ont poussés à attirer l’attention des Congolais sur l’eau qu’ils achètent et consomment sans se rendre compte qu’ils sont en train de s’intoxiquer en achetant la maladie à 50, 100 et 200 FCFA
Enquête sur l’eau embouteillée au Congo-Brazzaville : visite des usines RAGEC à Brazzaville et PLASCO à Pointe-Noire 04/03/2005
La vie de tout un peuple n’a pas de prix et l’eau, dit-on, c’est la vie. En plus, l’eau constitue l’aliment le plus consommé de cette planète. La mauvaise qualité de l’eau peut occasionner des effets néfastes sur la santé des consommateurs. Face à un problème qui touche à la santé publique et à la sécurité alimentaire, le Gouvernement est appelé à prendre des mesures préventives pour éviter l’hécatombe.
Suite aux rumeurs qui circulent sur l’état de l’eau mise sur le marché au Congo qui, semble-t-il être non potable, l’équipe rédactionnelle du journal Le Choc est descendue le vendredi 18 février 2005 à Djiri et Pointe-Noire pour mener des enquêtes sur le processus de traitement de l’eau Mayo et l’eau Cristal.
La décision prise par les Ministres du Commerce, de l’Industrie et de la Santé de suspendre la commercialisation de l’eau Cristal produite par la société RAGEC est courageuse et salutaire pour toutes les parties, bien qu’elle semble être prise sous l’effet des rumeurs alarmantes. Cette mesure préventive n’est nullement dans le sens de nuire aux intérêts de la société RAGEC, mais d’apporter plus de lumière sur un problème qui touche la santé publique et qui peut avoir des effets néfastes sur les populations. Pour cela, des analyses supplémentaires sont diligentées pour déterminer la potabilité ou non de l’eau Cristal
Enquête exclusive sur l’eau embouteillée :
l’eau CRISTAL serait impropre à la consommation, le Chef de l’Etat devrait interpeller son Gouvernement 04/03/2005
Nous avons mené une enquête dans les sociétés SN PLASCO et RAGEC qui produisent et commercialisent l’eau embouteillée au Congo pour nous rendre compte de la qualité pure ou impure de cette eau consommée par les Congolais.
Toutes les deux sociétés nous ont fourni des documents prouvant que leurs produits sont absolument propres à la consommation humaine. Dans cette enquête nous avons également eu accès aux documents très compromettants sur la qualité de l’eau produite, commercialisée et consommée au Congo.
cp[Ces documents qui sortent des milieux suffisamment responsables ont évidemment attiré notre attention et nous ont poussés à attirer l’attention des Congolais sur l’eau qu’ils achètent et consomment sans se rendre compte qu’ils sont en train de s’intoxiquer en achetant la maladie à 50, 100 et 200 FCFA
Enquête sur l’eau embouteillée au Congo-Brazzaville : visite des usines RAGEC à Brazzaville et PLASCO à Pointe-Noire 04/03/2005
La vie de tout un peuple n’a pas de prix et l’eau, dit-on, c’est la vie. En plus, l’eau constitue l’aliment le plus consommé de cette planète. La mauvaise qualité de l’eau peut occasionner des effets néfastes sur la santé des consommateurs. Face à un problème qui touche à la santé publique et à la sécurité alimentaire, le Gouvernement est appelé à prendre des mesures préventives pour éviter l’hécatombe.
Suite aux rumeurs qui circulent sur l’état de l’eau mise sur le marché au Congo qui, semble-t-il être non potable, l’équipe rédactionnelle du journal Le Choc est descendue le vendredi 18 février 2005 à Djiri et Pointe-Noire pour mener des enquêtes sur le processus de traitement de l’eau Mayo et l’eau Cristal.