Depuis des années, témoins des résistances populaires boliviennes, argentines...

Depuis des années, témoins des résistances populaires boliviennes, argentines, uruguayennes, alertés par les dommages causés par une politique marchande sans respect pour le patrimoine naturel commun, nous nous sommes rangés au côté des victimes d’un système économique mondial préjudiciable pour l’avenir de l’humanité et de la planète.
Depuis des années, leurs témoignages ont nourri la démarche pour un Contrat Mondial de l’eau.
Ils ont courageusement amené leurs dirigeants à résister à la campagne de la Banque Mondiale et du FMI qui voudraient convaincre que le « modèle français », le partenariat public /privé est la panacée. Alors qu’en France, de nombreuses municipalités convaincues du contraire, ont repris leur responsabilité par une gestion publique, dont les services privilégient l’intérêt général de l’ensemble de la population. Et pas essentiellement l’intérêt économique général.
La proposition de 40 litres d’eau gratuits par jour et par personne donne à la population qui n’a pas les moyens d’acheter l’eau potable en bouteille, la possibilité de vivre, de se laver et d’entreprendre pour participer à la construction du monde auquel ils aspirent.
Ensemble, nous soutenons la campagne du prélèvement du 1% sur le budget de l’armement pour amener l’eau partout où elle est attendue.
Toutes tribunes nous donnent la possibilité, comme aujourd’hui, de convaincre nos élus de l’impérative nécessité d’inscrire dans chacune des constitutions nationales le droit à l’accès à l’eau supplantant la notion de simple besoin cher aux puissants qui rédigent les déclarations finales des Sommets . A fortiori dans le « traité constitutionnel » qui occupe aujourd’hui les citoyens européens. (Enfin, ceux auxquels on demande d’exprimer un avis.)
Pour beaucoup d’entre nous, le statut que nous dessinons pour l’eau en l’inscrivant comme l’élément vital universel, hors de tout circuit marchand, induit les principes fondamentaux qui organisent la vie de l’humanité en société, respectueuse de chacun, dans un environnement protégé des appétits dévorants de quelques privilégiés, induit les principes fondateurs d’une démocratie participative où chaque citoyen conscient de sa responsabilité civique prend sa place.
DM
Depuis des années, leurs témoignages ont nourri la démarche pour un Contrat Mondial de l’eau.
Ils ont courageusement amené leurs dirigeants à résister à la campagne de la Banque Mondiale et du FMI qui voudraient convaincre que le « modèle français », le partenariat public /privé est la panacée. Alors qu’en France, de nombreuses municipalités convaincues du contraire, ont repris leur responsabilité par une gestion publique, dont les services privilégient l’intérêt général de l’ensemble de la population. Et pas essentiellement l’intérêt économique général.
La proposition de 40 litres d’eau gratuits par jour et par personne donne à la population qui n’a pas les moyens d’acheter l’eau potable en bouteille, la possibilité de vivre, de se laver et d’entreprendre pour participer à la construction du monde auquel ils aspirent.
Ensemble, nous soutenons la campagne du prélèvement du 1% sur le budget de l’armement pour amener l’eau partout où elle est attendue.
Toutes tribunes nous donnent la possibilité, comme aujourd’hui, de convaincre nos élus de l’impérative nécessité d’inscrire dans chacune des constitutions nationales le droit à l’accès à l’eau supplantant la notion de simple besoin cher aux puissants qui rédigent les déclarations finales des Sommets . A fortiori dans le « traité constitutionnel » qui occupe aujourd’hui les citoyens européens. (Enfin, ceux auxquels on demande d’exprimer un avis.)
Pour beaucoup d’entre nous, le statut que nous dessinons pour l’eau en l’inscrivant comme l’élément vital universel, hors de tout circuit marchand, induit les principes fondamentaux qui organisent la vie de l’humanité en société, respectueuse de chacun, dans un environnement protégé des appétits dévorants de quelques privilégiés, induit les principes fondateurs d’une démocratie participative où chaque citoyen conscient de sa responsabilité civique prend sa place.
DM