Selon l’hebdomadaire panafricain Jeune Afrique, l’Office national de l’eau potable (Onep) a déjà fait ses preuves ailleurs...

Cette sortie de l’office nationale de l’eau potable du Maroc est un indicateur du choix imminent du bénéficiaire du contrat d’affermage en ce qui concerne la privatisation de la Société nationale des eaux du Cameroun. Dans le mémorandum de politiques économique et financière adressé au Fonds monétaire international le 29 mai dernier, le Premier ministre a clairement promis aux responsables du Fmi que “ le gouvernement mettra tout en œuvre afin que l’adjudicataire provisoire du contrat d’affermage de la société soit sélectionné d’ici fin juin 2007". Près d’un mois après cette échéance, le ministère de l’Economie et des finances n’a pas encore rendu public le nom du fermier.
Véolia et Onep
Pourtant selon des sources proches du dossier, c’est depuis le 3 juillet dernier que Veolia Water et l’Office national de l’eau potable (Onep) marocain devaient présenter leurs offres financières respectives. Pour que le gouvernement concède le contrat d’“ affermage ”. Depuis, aucune information n’a filtré du comité en charge de la liquidation et de la privatisation des entreprises publiques.
Les Marocains ne seront pas à leur première expérience à l’international. Selon l’hebdomadaire panafricain Jeune Afrique, l’Office national de l’eau potable (Onep) a déjà fait ses preuves ailleurs. En octobre 2006, il a décroché son premier contrat à l’international. En partenariat avec une entreprise publique française, la Société canal de Provence (Scp), les Marocains assurent l’assistance technique au projet d’alimentation en eau potable de Nouakchott, la capitale mauritanienne.
En attendant la position officielle du Minefi sur ce contrat de concession, Le Messager fait un état de lieux de la qualité et de la distribution de l’eau au Cameroun.
Véolia et Onep
Pourtant selon des sources proches du dossier, c’est depuis le 3 juillet dernier que Veolia Water et l’Office national de l’eau potable (Onep) marocain devaient présenter leurs offres financières respectives. Pour que le gouvernement concède le contrat d’“ affermage ”. Depuis, aucune information n’a filtré du comité en charge de la liquidation et de la privatisation des entreprises publiques.
Les Marocains ne seront pas à leur première expérience à l’international. Selon l’hebdomadaire panafricain Jeune Afrique, l’Office national de l’eau potable (Onep) a déjà fait ses preuves ailleurs. En octobre 2006, il a décroché son premier contrat à l’international. En partenariat avec une entreprise publique française, la Société canal de Provence (Scp), les Marocains assurent l’assistance technique au projet d’alimentation en eau potable de Nouakchott, la capitale mauritanienne.
En attendant la position officielle du Minefi sur ce contrat de concession, Le Messager fait un état de lieux de la qualité et de la distribution de l’eau au Cameroun.