Le projet Genesis Solar consommerait 536 millions de gallons d'eau par an, pendant que le projet Mojave Solar 705 millions de gallons d'eau par an pour son système de refroidissement, selon les demandes déposées auprès de la Commission « California Energy ».
Avec 35 grands projets de parcs solaires en cours de licence ou prévus pour les régions arides de la Californie à elle seule, la question de l'eau apparaît très controversée.
Les projets tels que celui de"Genesis Solar" et celui du désert de Mojave utiliseront une technologie solaire qui déploie de longues rangées de miroirs paraboliques afin de chauffer un fluide qui crée de la vapeur et fait fonctionner une turbine. La vapeur doit être condensée de nouveau en eau et refroidir pour sa réutilisation.
Les industriels solaires préfèrent utiliser ce qu'on appelle le refroidissement par voie humide dans laquelle l'eau doit être constamment être renouvelée pour compenser l'évaporation. les régulateurs, eux, poussent les développeurs à utiliser un refroidissement à sec, ce qui permet d'économiser environ 90 % d'eau, en revanche ce système plus coûteux et moins efficace diminue la rentabilité d'une centrale électrique.
Selon les demandes déposées auprès de la Commission « California Energy », le projet Genesis Solar consommerait 536 millions de gallons d'eau par an, en même temps que le projet Mojave Solar qui pomperait 705 millions de gallons d'eau par an pour son système de refroidissement.
Avec 35 grands projets de parcs solaires en cours de licence ou prévus pour ces seules régions arides de la Californie, l'eau apparaît comme une question très controversée.
Les projets tels que celui de"Genesis Solar" et celui du désert de Mojave utiliseront une technologie solaire qui déploie de longues rangées de miroirs paraboliques afin de chauffer un fluide qui crée de la vapeur et fait fonctionner une turbine. La vapeur doit être condensée de nouveau en l'eau et refroidir pour sa réutilisation.
Avec 35 grands projets de parcs solaires en cours de licence ou prévus pour les régions arides de la Californie à elle seule, la question de l'eau apparaît très controversée.
Les projets tels que celui de"Genesis Solar" et celui du désert de Mojave utiliseront une technologie solaire qui déploie de longues rangées de miroirs paraboliques afin de chauffer un fluide qui crée de la vapeur et fait fonctionner une turbine. La vapeur doit être condensée de nouveau en eau et refroidir pour sa réutilisation.
Les industriels solaires préfèrent utiliser ce qu'on appelle le refroidissement par voie humide dans laquelle l'eau doit être constamment être renouvelée pour compenser l'évaporation. les régulateurs, eux, poussent les développeurs à utiliser un refroidissement à sec, ce qui permet d'économiser environ 90 % d'eau, en revanche ce système plus coûteux et moins efficace diminue la rentabilité d'une centrale électrique.
Selon les demandes déposées auprès de la Commission « California Energy », le projet Genesis Solar consommerait 536 millions de gallons d'eau par an, en même temps que le projet Mojave Solar qui pomperait 705 millions de gallons d'eau par an pour son système de refroidissement.
Avec 35 grands projets de parcs solaires en cours de licence ou prévus pour ces seules régions arides de la Californie, l'eau apparaît comme une question très controversée.
Les projets tels que celui de"Genesis Solar" et celui du désert de Mojave utiliseront une technologie solaire qui déploie de longues rangées de miroirs paraboliques afin de chauffer un fluide qui crée de la vapeur et fait fonctionner une turbine. La vapeur doit être condensée de nouveau en l'eau et refroidir pour sa réutilisation.
Les développeurs solaires préfèrent utiliser ce qu'on appelle le refroidissement par voie humide dans laquelle l'eau doit être constamment être renouvelée pour compenser l'évaporation. les régulateurs, eux, poussent les développeurs à utiliser un refroidissement à sec, ce qui permet d'économiser environ 90 % d'eau, en revanche le système plus coûteux et moins efficace diminue la rentabilité d'une centrale électrique.
Nextera Energy Resources, une filiale du géant de l'utilitaire de FPL Group, s’attache actuellement à l'élaboration du projet Genesis dans la vallée de Chuckwalla dans le désert de Sonora. Les 2 fermes solaires utiliseront d'environ 5 % de l’'eau disponible de la vallée.
D’après Nextera." Un appauvrissement significatif des ressources en eau n'est pas envisagé».
Les contrôleurs d'État à l'énergie traitent déjà une demande de pompage d’eau potable de Nextera, des eaux souterraines de grande qualité, pour refroidir une autre ferme solaire qu’il projette de construire à proximité de Bakersfield, en Californie.
Les fonctionnaires de la « la Commission de « California Energy » écrivent dans un mémorandum concernant le projet « Genesis » que Le personnel, dans cette proposition, s’engage à être très attentif aux différents aspects de l'eau".
Le projet » Mojave Solar » sera construit au nord de Los Angeles par le développeur espagnol Abengoa Solar. Le site est à proximité de deux anciennes centrales « cylindro-solaires » de style –refroidissement par fluide - qui ont fonctionné pendant près de deux décennies. Abengoa pompera les eaux souterraines utilisées auparavant pour faire pousser de la luzerne dans le désert.
Abengoa se défend en plaidant que «L'utilisation du terrain pour la production d'énergie électrique s’inscrit davantage dans un projet de développement durable qui a moins d'impacts sur l'environnement que l’usage agricole qui en était fait" et qu’il est préférable de laisser le projet se poursuivre.
Mais au moins un industriel allemand de central thermique solaire, « Solar Millennium », a renoncé à s’engouffrer dans une guerre de l'eau. Après avoir essuyé le refus des responsables locaux des ressources en eau d’alimenter leur ferme solaire prévue à Ridgecrest en Californie, « Solar Millennium » a décidé de refroidir à sec l'ensemble des projets solaires en Californie.
Références
New York Times
Nextera Energy Resources, une filiale du géant de l'utilitaire de FPL Group, s’attache actuellement à l'élaboration du projet Genesis dans la vallée de Chuckwalla dans le désert de Sonora. Les 2 fermes solaires utiliseront d'environ 5 % de l’'eau disponible de la vallée.
D’après Nextera." Un appauvrissement significatif des ressources en eau n'est pas envisagé».
Les contrôleurs d'État à l'énergie traitent déjà une demande de pompage d’eau potable de Nextera, des eaux souterraines de grande qualité, pour refroidir une autre ferme solaire qu’il projette de construire à proximité de Bakersfield, en Californie.
Les fonctionnaires de la « la Commission de « California Energy » écrivent dans un mémorandum concernant le projet « Genesis » que Le personnel, dans cette proposition, s’engage à être très attentif aux différents aspects de l'eau".
Le projet » Mojave Solar » sera construit au nord de Los Angeles par le développeur espagnol Abengoa Solar. Le site est à proximité de deux anciennes centrales « cylindro-solaires » de style –refroidissement par fluide - qui ont fonctionné pendant près de deux décennies. Abengoa pompera les eaux souterraines utilisées auparavant pour faire pousser de la luzerne dans le désert.
Abengoa se défend en plaidant que «L'utilisation du terrain pour la production d'énergie électrique s’inscrit davantage dans un projet de développement durable qui a moins d'impacts sur l'environnement que l’usage agricole qui en était fait" et qu’il est préférable de laisser le projet se poursuivre.
Mais au moins un industriel allemand de central thermique solaire, « Solar Millennium », a renoncé à s’engouffrer dans une guerre de l'eau. Après avoir essuyé le refus des responsables locaux des ressources en eau d’alimenter leur ferme solaire prévue à Ridgecrest en Californie, « Solar Millennium » a décidé de refroidir à sec l'ensemble des projets solaires en Californie.
Références
New York Times
The West’s water wars are likely to intensify with Pacific Gas and Electric’s announcement on Monday that it would buy 500 megawatts of electricity from two solar power plant projects to be built in the California desert.
The Genesis Solar Energy Project consume an estimated 536 million gallons of water a year, while the Mojave Solar Project pump 705 million gallons annually for power-plant cooling, according to applications filed with the California Energy Commission.
With 35 big solar farm projects undergoing licensing or planned for arid regions of California alone, water is emerging as a contentious issue.
The Genesis and Mojave projects will use solar trough technology that deploys long rows of parabolic mirrors to heat a fluid to create steam that drives an electricity-generating turbine. The steam must be condensed back into water and cooled for re-use.
Solar trough developers prefer to use so-called wet cooling in which water must be constantly be replenished to make up for evaporation. Regulators, meanwhile, are pushing developers to use dry cooling, which takes about 90 percent less water but is more expensive and reduces the efficiency –- and profitability – of a power plant.
NextEra Energy Resources, a subsidiary of the utility giant FPL Group, is developing the Genesis project in the Chuckwalla Valley in the Sonoran Desert. The twin solar farms would tap about 5 percent of the valley’s available water.
“Substantial depletion of water resources is not anticipated,” NextEra wrote in its application.
State energy regulators are already tangling with NextEra over its request to pump drinking-water-quality groundwater to cool another solar farm it plans to build near Bakersfield, Calif.
“Staff will be carefully reviewing water aspects of this proposal,” officials at the California Energy Commission wrote in a memorandum about the Genesis project.
The Mojave Solar Project will be built northeast of Los Angeles by the Spanish developer Abengoa Solar. The site is near two older-style wet-cooled solar trough plants that have been operating for nearly two decades. Abengoa will pump groundwater previously used to grow alfalfa in the desert.
“The proposed use of the land for electrical power generation is a more sustainable use and has fewer environmental impacts than if the project were not to go forward and the agricultural use were to continue,” according to Abengoa’s application.
But at least one big solar trough power plant developer, Solar Millennium of Germany, has waived the white flag in the water wars. After local water officials refused to turn on the taps for its planned solar farm in Ridgecrest Calif., Solar Millennium decided to dry cool all of its power plants projects in California.
New York Times
The Genesis Solar Energy Project consume an estimated 536 million gallons of water a year, while the Mojave Solar Project pump 705 million gallons annually for power-plant cooling, according to applications filed with the California Energy Commission.
With 35 big solar farm projects undergoing licensing or planned for arid regions of California alone, water is emerging as a contentious issue.
The Genesis and Mojave projects will use solar trough technology that deploys long rows of parabolic mirrors to heat a fluid to create steam that drives an electricity-generating turbine. The steam must be condensed back into water and cooled for re-use.
Solar trough developers prefer to use so-called wet cooling in which water must be constantly be replenished to make up for evaporation. Regulators, meanwhile, are pushing developers to use dry cooling, which takes about 90 percent less water but is more expensive and reduces the efficiency –- and profitability – of a power plant.
NextEra Energy Resources, a subsidiary of the utility giant FPL Group, is developing the Genesis project in the Chuckwalla Valley in the Sonoran Desert. The twin solar farms would tap about 5 percent of the valley’s available water.
“Substantial depletion of water resources is not anticipated,” NextEra wrote in its application.
State energy regulators are already tangling with NextEra over its request to pump drinking-water-quality groundwater to cool another solar farm it plans to build near Bakersfield, Calif.
“Staff will be carefully reviewing water aspects of this proposal,” officials at the California Energy Commission wrote in a memorandum about the Genesis project.
The Mojave Solar Project will be built northeast of Los Angeles by the Spanish developer Abengoa Solar. The site is near two older-style wet-cooled solar trough plants that have been operating for nearly two decades. Abengoa will pump groundwater previously used to grow alfalfa in the desert.
“The proposed use of the land for electrical power generation is a more sustainable use and has fewer environmental impacts than if the project were not to go forward and the agricultural use were to continue,” according to Abengoa’s application.
But at least one big solar trough power plant developer, Solar Millennium of Germany, has waived the white flag in the water wars. After local water officials refused to turn on the taps for its planned solar farm in Ridgecrest Calif., Solar Millennium decided to dry cool all of its power plants projects in California.
New York Times