
La direction de Véolia et ses alliés au sommet du pouvoir politique, ne supportent pas que la lumière soit faite sur les pratiques des "grands groupes français de l'eau" aussi bien en France qu'à l'étranger. C'est pourquoi la direction de Véolia s'acharne à vouloir obtenir le licenciement de Jean-Luc Touly.
- Janvier 2004 elle demande son licenciement pour déloyauté. Sous le prétexte qu'il prône le retour en régie publique de la gestion de l'eau alors qu'il est employé par une société spécialiste de la gestion privée. Refus de l'inspection du travail en avril 2004. Nouveau recours, devant le ministre du travail cette fois, qui refuse également le 27 octobre 2004
- Nouvelle offensive en juin 2005, suite à une condamnation pénale symbolique de 1 euro pour des propos qualifiés de diffamatoires dans son livre, et portant sur un détail des faits exposés. L'inspection de travail refuse à nouveau le 5 octobre.
- Mais Véolia n'aime pas perdre et sait pouvoir compter sur ses amis dans les sphères du pouvoir. Un nouveau recours a été déposé par l'entreprise, fin octobre, devant le ministre du travail. Jean-Luc Touly en a reçu l'avis le 1er décembre 2005 et a été convoqué devant les services du ministère du travail le 20 décembre.
Nous avons vite réagi et avons signé massivement une pétition le soutenant. Pourtant le mardi 28 février 2006, le ministre Gérard Larcher annule la décision de l'Inspection du Travail et autorise son licenciement.
Jean-Luc Touly nous a fait savoir qu'il avait reçu le 7 mars par huissier la notification, par le Directeur de "Véolia Eau Ile de France", de son licenciement "pour faute grave". Et ceci "sans indemnité ni préavis de licenciement" malgré 30 ans et 12 jours d'ancienneté. L'avocat de Jean-Luc Touly déposera dans les prochains jours des recours auprès du tribunal Administratif, du Conseil des Prud'hommes et de la Cour Européenne des Droits de l'homme.
Le Conseil Interrégional des Verts réuni à Paris les 18 et 19 Mars 2006 :
Assure Jean-Luc Touly de sa totale solidarité et de celle de l'ensemble des Verts.
Exprime son indignation face à la collusion entre le pouvoir politique et l'entreprise privée Véolia, dont l'objectif est d'étouffer toutes les voix qui pourraient témoigner des méthodes utilisées par cette entreprise. Méthodes qui ont fait l'objet de demandes d'enquête parlementaire, en particuliers de la part des député(e)s Vert(e)s.
Invite l'ensemble des adhérent(e)s des Verts a s'engager activement pour informer sur les méthodes employées par les lobbies français de l'eau en France et dans le monde et pour obtenir le retour à la gestion publique de l'eau.
Premiers signataires : Gérard Borvon (CNIR)…
- Janvier 2004 elle demande son licenciement pour déloyauté. Sous le prétexte qu'il prône le retour en régie publique de la gestion de l'eau alors qu'il est employé par une société spécialiste de la gestion privée. Refus de l'inspection du travail en avril 2004. Nouveau recours, devant le ministre du travail cette fois, qui refuse également le 27 octobre 2004
- Nouvelle offensive en juin 2005, suite à une condamnation pénale symbolique de 1 euro pour des propos qualifiés de diffamatoires dans son livre, et portant sur un détail des faits exposés. L'inspection de travail refuse à nouveau le 5 octobre.
- Mais Véolia n'aime pas perdre et sait pouvoir compter sur ses amis dans les sphères du pouvoir. Un nouveau recours a été déposé par l'entreprise, fin octobre, devant le ministre du travail. Jean-Luc Touly en a reçu l'avis le 1er décembre 2005 et a été convoqué devant les services du ministère du travail le 20 décembre.
Nous avons vite réagi et avons signé massivement une pétition le soutenant. Pourtant le mardi 28 février 2006, le ministre Gérard Larcher annule la décision de l'Inspection du Travail et autorise son licenciement.
Jean-Luc Touly nous a fait savoir qu'il avait reçu le 7 mars par huissier la notification, par le Directeur de "Véolia Eau Ile de France", de son licenciement "pour faute grave". Et ceci "sans indemnité ni préavis de licenciement" malgré 30 ans et 12 jours d'ancienneté. L'avocat de Jean-Luc Touly déposera dans les prochains jours des recours auprès du tribunal Administratif, du Conseil des Prud'hommes et de la Cour Européenne des Droits de l'homme.
Le Conseil Interrégional des Verts réuni à Paris les 18 et 19 Mars 2006 :
Assure Jean-Luc Touly de sa totale solidarité et de celle de l'ensemble des Verts.
Exprime son indignation face à la collusion entre le pouvoir politique et l'entreprise privée Véolia, dont l'objectif est d'étouffer toutes les voix qui pourraient témoigner des méthodes utilisées par cette entreprise. Méthodes qui ont fait l'objet de demandes d'enquête parlementaire, en particuliers de la part des député(e)s Vert(e)s.
Invite l'ensemble des adhérent(e)s des Verts a s'engager activement pour informer sur les méthodes employées par les lobbies français de l'eau en France et dans le monde et pour obtenir le retour à la gestion publique de l'eau.
Premiers signataires : Gérard Borvon (CNIR)…