
La Banque mondiale a estimé que le nombre de litre d'eau accessible par personne dans cette partie du monde sera au moins divisée par deux avant 2050 et selon le nouveau rapport sorti au Caire, elle avertit des sérieuses conséquences sociales et économiques auxquelles ces pays devront faire face s'ils n'adaptent pas leurs pratiques actuelles de gestion de l'eau à cette situation future.
"Nous devons redoubler nos efforts pour nous assurer qu'assez d'eau de bonne qualité est disponible pour tous maintenant et sera disponible pour nos enfants et nos petits-enfants," s'est ému la vice-présidente de la Banque mondiale, Daniela Gressani.
Aujourd'hui, cette région, qui est actuellement un désert à 85 %, est l'un des plus arides sur la terre. Alors qu'il abrite 5 % de la population mondiale il ne détient que 1 % des réserves mondiales d'eau. Selon le même rapport, actuellement la gestion inefficace de l'eau entame les finances de ces pays de l'ordre de 1 à 3 % de leur produit intérieur brut chaque année.
Pour produire de l'eau avec dans une gestion de développement durable, le rapport préconise d'augmenter les pouvoirs des agences gouvernementales et des prestataires de services d'eau. Une meilleure implication signifie que ceux qui ont un intérêt dans la politique de la gestion de l'eau participe davantage au processus de prise de décisions.
Le rapport souligne aussi l'importance à considérer les impacts sur l'accès à l'eau de politiques sans lien direct à l'eau. La facon de gérer l'agriculture, le commerce a souvent plus d'impacts sur la gestion de l'eau que la politique mise en oeuvre par les ministères qui sont en charge de l'eau, note-til.
Les fonctionnaires de la Banque mondiale croient que ces différentes démarches aideront à améliorer les efforts d''efficacité qui sont réalisés dans la gestion de l'eau dans cette région et les rendront financièrement durables.
Julie Bucknall, une grande spécialiste des ressources naturelles à la Banque mondiale, a expliqué mercredi que les gouvernements dans cette partie du monde dépensent en réalité des sommes considérables dans le secteur d'eau, mais pas de la façon la plus efficace. Dans quelques pays, ces dépenses s'élèvent à 25 % de tout l'investissement public.
Pour elle :"Dans le rapport, l'analyse de la situation indique que nous pourrions faire beaucoup mieux,". Bucknall croient les commentaires de ceux qui sont affectés par les investissements qui sont insuffisants pour améliorer l'efficacité du développement actuel.
Pour donner suite aux recommandations du rapport, docteur Mahmoud Abu Zeid, le président du Conseil Arabe de l'Eau et le ministre égyptien des ressources en eau et de l'irrigation, ont annoncé des projets conjugués par le Conseil Arabe de l'EAU et de la Banque mondiale pour créer un nouveau centre régional d'excellence. Le centre sera financé par une subvention de 300,000 dollars américains de la Banque mondiale.
L'AP
Dimanche, le 11 mars 2007
LE CAIRE, Egypte :
traduction bénévole SDT
"Nous devons redoubler nos efforts pour nous assurer qu'assez d'eau de bonne qualité est disponible pour tous maintenant et sera disponible pour nos enfants et nos petits-enfants," s'est ému la vice-présidente de la Banque mondiale, Daniela Gressani.
Aujourd'hui, cette région, qui est actuellement un désert à 85 %, est l'un des plus arides sur la terre. Alors qu'il abrite 5 % de la population mondiale il ne détient que 1 % des réserves mondiales d'eau. Selon le même rapport, actuellement la gestion inefficace de l'eau entame les finances de ces pays de l'ordre de 1 à 3 % de leur produit intérieur brut chaque année.
Pour produire de l'eau avec dans une gestion de développement durable, le rapport préconise d'augmenter les pouvoirs des agences gouvernementales et des prestataires de services d'eau. Une meilleure implication signifie que ceux qui ont un intérêt dans la politique de la gestion de l'eau participe davantage au processus de prise de décisions.
Le rapport souligne aussi l'importance à considérer les impacts sur l'accès à l'eau de politiques sans lien direct à l'eau. La facon de gérer l'agriculture, le commerce a souvent plus d'impacts sur la gestion de l'eau que la politique mise en oeuvre par les ministères qui sont en charge de l'eau, note-til.
Les fonctionnaires de la Banque mondiale croient que ces différentes démarches aideront à améliorer les efforts d''efficacité qui sont réalisés dans la gestion de l'eau dans cette région et les rendront financièrement durables.
Julie Bucknall, une grande spécialiste des ressources naturelles à la Banque mondiale, a expliqué mercredi que les gouvernements dans cette partie du monde dépensent en réalité des sommes considérables dans le secteur d'eau, mais pas de la façon la plus efficace. Dans quelques pays, ces dépenses s'élèvent à 25 % de tout l'investissement public.
Pour elle :"Dans le rapport, l'analyse de la situation indique que nous pourrions faire beaucoup mieux,". Bucknall croient les commentaires de ceux qui sont affectés par les investissements qui sont insuffisants pour améliorer l'efficacité du développement actuel.
Pour donner suite aux recommandations du rapport, docteur Mahmoud Abu Zeid, le président du Conseil Arabe de l'Eau et le ministre égyptien des ressources en eau et de l'irrigation, ont annoncé des projets conjugués par le Conseil Arabe de l'EAU et de la Banque mondiale pour créer un nouveau centre régional d'excellence. Le centre sera financé par une subvention de 300,000 dollars américains de la Banque mondiale.
L'AP
Dimanche, le 11 mars 2007
LE CAIRE, Egypte :
traduction bénévole SDT
World Bank urges action to manage water scarcity in Middle East and north Africa
The Associated Press
Sunday, March 11, 2007
CAIRO, Egypt: The World Bank on Sunday predicted a dramatic decline in water availability in the Middle East and north Africa and urged countries in the region to re-examine how they use the precious resource.
The World Bank estimated that per capita water availability in the region will fall by at least 50 percent by 2050 and warned of serious social and economic consequences if countries do not adapt their current water management practices, according to a new report released in Cairo.
"We need to redouble our efforts to make sure that enough water of good quality is available to all of society now and will be available to our children and grandchildren," said World Bank vice president, Daniela Gressani.
Even today, the region, which is 85 percent desert, is one of the most arid on earth. It contains 5 percent of the world's population, but only 1 percent of the world's water. According to the report, inefficient water management currently costs economies in the region approximately 1 to 3 percent of gross domestic product every year.
To produce sustainable water management, the report advocates increasing the accountability of government agencies and water service providers. Better accountability means bringing more of those who have a stake in water management policies into the decision making process.
The report also emphasizes the importance of considering the effects of policies not directly related to water on its availability. Policies that deal with agriculture, trade often have a greater affect water management than policies implemented by water-related ministries, it notes.
World Bank officials believe these steps will help improve the efficiency of existing water management efforts in the region and make them financially sustainable.
Julie Bucknall, a leading natural resources specialist for the World Bank, said Wednesday that governments in the region actually spend a considerable amount of money on the water sector, but not in the most efficient manner. In some countries, this spending amounts to 25 percent of all public investment.
"The analysis in the report indicates that we could do a lot better," she said. Bucknall believes comments from those affected by the investments is critical to improving the efficiency of existing spending.
To follow up on the recommendations in the report, Dr. Mahmoud Abu Zeid, the president of the Arab Water Council and the Egyptian minister of water resources and irrigation, announced plans by the Arab Water Council and the World Bank to create a new regional center of excellence. The center will be funded with a US$300,000 grant from the World Bank.
Sunday, March 11, 2007
CAIRO, Egypt: The World Bank on Sunday predicted a dramatic decline in water availability in the Middle East and north Africa and urged countries in the region to re-examine how they use the precious resource.
The World Bank estimated that per capita water availability in the region will fall by at least 50 percent by 2050 and warned of serious social and economic consequences if countries do not adapt their current water management practices, according to a new report released in Cairo.
"We need to redouble our efforts to make sure that enough water of good quality is available to all of society now and will be available to our children and grandchildren," said World Bank vice president, Daniela Gressani.
Even today, the region, which is 85 percent desert, is one of the most arid on earth. It contains 5 percent of the world's population, but only 1 percent of the world's water. According to the report, inefficient water management currently costs economies in the region approximately 1 to 3 percent of gross domestic product every year.
To produce sustainable water management, the report advocates increasing the accountability of government agencies and water service providers. Better accountability means bringing more of those who have a stake in water management policies into the decision making process.
The report also emphasizes the importance of considering the effects of policies not directly related to water on its availability. Policies that deal with agriculture, trade often have a greater affect water management than policies implemented by water-related ministries, it notes.
World Bank officials believe these steps will help improve the efficiency of existing water management efforts in the region and make them financially sustainable.
Julie Bucknall, a leading natural resources specialist for the World Bank, said Wednesday that governments in the region actually spend a considerable amount of money on the water sector, but not in the most efficient manner. In some countries, this spending amounts to 25 percent of all public investment.
"The analysis in the report indicates that we could do a lot better," she said. Bucknall believes comments from those affected by the investments is critical to improving the efficiency of existing spending.
To follow up on the recommendations in the report, Dr. Mahmoud Abu Zeid, the president of the Arab Water Council and the Egyptian minister of water resources and irrigation, announced plans by the Arab Water Council and the World Bank to create a new regional center of excellence. The center will be funded with a US$300,000 grant from the World Bank.