
C’est un audit commandé par la communauté urbaine, pas encore public, qui met le feu au poudre. Cet audit technique, financier et juridique du contrat de délégation du service public de distribution d’eau confié à la Société des Eaux du Nord » révèlerait que la signature du contrat et les avenants successifs qui ont suivi auraient favorisé une surtaxe au profit du gestionnaire.
Comme parfois dans d'autres villes en délégation privée, les irrégularités sont pointées ainsi : "Aucun inventaire des biens n’est présent au contrat ", ce qui, « risque de fermer la possibilité d’une mise en concurrence. » Autre point, « le dispositif de pénalités (...) est insuffisant ». Ce qui revient à dire « la communauté urbaine n’a pas de pouvoir coercitif suffisant » pour obliger la SEN à atteindre ses objectifs. " Les produits financiers ne sont pas pris en compte dans le compte de concession ». C’est-à-dire que les fonds disponibles de provisions théoriquement dédiés aux travaux sur le réseau sont convertis en placements financiers.
Alors se pose la question de la naïveté des élus ou de leur complicité « Ce n’est pas possible que les élus de l’époque aient signé ça sans avoir eu des avantages par ailleurs. » s'interroge Éric Quiquet, qui propose pour juguler ses dérives une gestion publique non intéressée par le profit. Cette mesure se traduirait par de substantielles économies pour le contribuable de l'ordre de (27 %).
Site des verts LMCU = (Lille Metropole Communauté Urbaine)
Lire en pièce jointe les articles de la presse locale
La Voix du Nord - Edition du dimanche 28 octobre 2007
Nord Eclair - 28/10/2007
Comme parfois dans d'autres villes en délégation privée, les irrégularités sont pointées ainsi : "Aucun inventaire des biens n’est présent au contrat ", ce qui, « risque de fermer la possibilité d’une mise en concurrence. » Autre point, « le dispositif de pénalités (...) est insuffisant ». Ce qui revient à dire « la communauté urbaine n’a pas de pouvoir coercitif suffisant » pour obliger la SEN à atteindre ses objectifs. " Les produits financiers ne sont pas pris en compte dans le compte de concession ». C’est-à-dire que les fonds disponibles de provisions théoriquement dédiés aux travaux sur le réseau sont convertis en placements financiers.
Alors se pose la question de la naïveté des élus ou de leur complicité « Ce n’est pas possible que les élus de l’époque aient signé ça sans avoir eu des avantages par ailleurs. » s'interroge Éric Quiquet, qui propose pour juguler ses dérives une gestion publique non intéressée par le profit. Cette mesure se traduirait par de substantielles économies pour le contribuable de l'ordre de (27 %).
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Nord Eclair - 28/10/2007