Danielle Mitterrand ( Présidente de l'ACME France), Riccardo Petrella (Secrétaire du Comité Promoteur Mondial pour le Contrat Mondial de l'Eau), Daniel Monteux ( membre du bureau national d'ATTAC) et des syndicalistes CGT, FO, CFDT exposeront deux propositions aux journalistes, dans le cadre de l'Université de l'Eau et de la réunion de la Coalition Mondiale contre la privatisation et la marchandisation de l'eau ( regroupant plusieurs dizaines d'ONG des 4 continents) :
1) Le lancement d'une pétition pour l'adhésion au Manifeste pour le Contrat Mondial de l'Eau qui stipule :
- que l'accès à l'eau, source de vie irremplaçable, est un droit humain individuel et collectif,
- que l'eau est un bien commun de l'humanité,
- que le financement nécessaire à la mise en oeuvre de ce droit doit être collectif et solidaire,
- que la propriété, le contrôle, la distribution et la gestion de l'eau et de l'assainissement doivent rester dans le domaine public,
- que les usagers soient associés à tous les échelons (local, national, mondial) du processus de décision de la politique de l'eau.
2) Devant le spectacle affligeant des multinationales de l'eau, en particulier Vivendi Universal et sa filiale Vivendi Environnement, plus soucieuses de spéculer et d' investir les bénéfices colossaux de leur activité Eau et Environnementale dans la Communication ( télévision, internet, téléphone portable, musique, cinéma, etc...), l'ACME et ATTAC interpellent les élus et les partis politiques, en cette période électorale, afin qu'ils se positionnent clairement pour un retour en régie directe de leur service public d'eau et d'assainissement et pour que le droit d'accès à l'eau pour tous sur cette planète soit une réalité ( aujourd'hui , 1,5 milliard d'être humains ne disposent pas d'accès à l'eau et peut-être le double dans 20 ans).
1) Le lancement d'une pétition pour l'adhésion au Manifeste pour le Contrat Mondial de l'Eau qui stipule :
- que l'accès à l'eau, source de vie irremplaçable, est un droit humain individuel et collectif,
- que l'eau est un bien commun de l'humanité,
- que le financement nécessaire à la mise en oeuvre de ce droit doit être collectif et solidaire,
- que la propriété, le contrôle, la distribution et la gestion de l'eau et de l'assainissement doivent rester dans le domaine public,
- que les usagers soient associés à tous les échelons (local, national, mondial) du processus de décision de la politique de l'eau.
2) Devant le spectacle affligeant des multinationales de l'eau, en particulier Vivendi Universal et sa filiale Vivendi Environnement, plus soucieuses de spéculer et d' investir les bénéfices colossaux de leur activité Eau et Environnementale dans la Communication ( télévision, internet, téléphone portable, musique, cinéma, etc...), l'ACME et ATTAC interpellent les élus et les partis politiques, en cette période électorale, afin qu'ils se positionnent clairement pour un retour en régie directe de leur service public d'eau et d'assainissement et pour que le droit d'accès à l'eau pour tous sur cette planète soit une réalité ( aujourd'hui , 1,5 milliard d'être humains ne disposent pas d'accès à l'eau et peut-être le double dans 20 ans).