Les Etats-Unis sont actuellement le plus grand émetteur de gaz à effet de serre - elles sont responsables du quart des émissions totales dans le monde.

Le rapport de l'administration interne, qui a été obtenu par l'agence de presse "Associated Press", évalue une augmentation de 19,5 % des émissions américaines des gaz à effet de serre dues aux combustions de charbon, de pétrole et de gaz naturel qui s'envoleront de 7.7 milliards de tonnes en 2000 à 9.2 milliards en 2020. On s'attendait à une augmentation des émissions, mais pas aussi importante, et elle met en évidence à quel point l'administration Bush est peu soucieuse de l'avis mondial et des efforts des autres pays pour contrôler le changement climatique.
Le Conseil de la Qualité de l'Environnement de la Maison Blanche, CEQ, responsable du rapport interne, affirme que l'administration Bush sait comment faire pour mettre un frein significatif à ces émissions au-delà du simple ralentissement qui deviendront conformes aux exigences des scientifiques.
" Le rapport prévoit des sécheresses croissantes et "une nette réduction " du manteau neigeux de printemps dans les états nord-ouest, ce qui alimente la majeure partie en eau potable cette région.
Les Etats-Unis sont actuellement le plus grand émetteur de gaz à effet de serre - elles sont responsables du quart des émissions totales dans le monde.
Quand le Président George W. Bush est entré en fonction en 2001, un de ses premiers actes politiques fut de désavouer le Protocole de Kyoto signé par le Président Bill Clinton qu'il n'a jamais envoyé au Sénat américain pour sa ratification.
Le protocole, qui est un amendement à la Convention cadre de l'ONU sur le Changement climatique, exige que la plupart des pays industrialisés réduisent pour fin 2012 leurs émissions de gaz à effet de serre de 5,2 % par rapport aux émissions de 1990.
Les dernières projections d'avant 2004 des Etats membres de l'Union européenne (l'UE 15) montrent que les émissions de gaz à effet de serre pouvaient être diminuées de 8 % avant 2010, ce qui correspondrait au niveau des années 1990.
Un rapport d'octobre de l'Agence d'Environnement européenne, EEA, montre que "si toutes les mesures de politique intérieure, déjà prises et projetées sont réellement mises en oeuvre, et si les recommandations de Kyoto sont respectées, l'UE 15 atteindra son objectif pris lors du Protocole de Kyoto."
D'après l'EEA, les 10 nouveaux Etats membres de l'Union européenne travaillent chacun dans cette voie pour réaliser leur propre objectif défini à Kyoto, malgré des émissions qui commencent, dues à une restructuration économique dans les années 1990. Les deux derniers Etats membres de l'Union européenne ne faisaient pas partie du bloc européen en octobre dernier au moment où le rapport a été rédigé.
Le président Bush défend sa position en expliquant que l'observation du Protocole de Kyoto aurait un effet négatif sur l'économie américaine. Il soutient la thèse que des réductions volontaires d'émissions et une meilleure technologie rendant plus propre l'utilisation du charbon , l'usage du nucléaire et meilleur rendement énergétique permettra de limiter le réchauffement climatique.
Les scientifiques américains, le monde des affaires et des groupes environnementaux s'accordent pour dire que si un réchauffement climatique irréversible doit être évité, des objectifs obligatoires encore plus rigoureux que ceux du Protocole de Kyoto devraient être pris.
En mesurant le manteau neigeux du Mt d'Oregon, en 2003, le projet du CEQ du rapport prévoit moins de neige dans le Nord-ouest du Pacifique dû au réchauffement climatique. Le 14 avril des militants manifesteront dans des villes au travers des Etast Unis pour appeler aux diminutions de 80 % des émissions de gaz à effet de serre avant 2050.
Le CEQ dit que sa version finale du rapport "montrera que les actions politiques préconisées par le Président Bush, concernant le changement climatique, seront positives.
Le projet du rapport américain vient un mois après celui du conseil Intergouvernemental sur le Changement climatique, et un avertissement plus fort fera date- la découverte de ce réchauffement climatique est réel, la civilisation industrielle est " responsable" et l'on s'attend à ce que le réchauffement continue pendant des siècles, même si les émissions de gaz à effet de serre sont contenues.
La moyenne des températures mondiales pourrait augmenter de plus de six degré Celsius (11 Fahrenheit) vers la fin de ce siècle, déclare le conseil.
Le rapport d'IPCC a été approuvé par 113 gouvernements, y compris les Etats-Unis.
Les états américains prennent en compte l'initiative du gouvernement fédéral avec quatre programmes régionaux pour restreindre des émissions de gaz. La Californie mène une politique visant avant à ramener 2020 les taux de gaz à ceux de 1990 et les diminuer avant 2050 de 80% .
Un ensemble de lois touchant à tous les domaines, voté par les deux partis, exigeant un contrôle des émissions de gaz à effet de serre et des plans de réduction du dioxyde de carbone sont étudiés par le Congrès sous contrôle démocrate.
James Connaughton, le président du Conseil de la Qualité de l'environnement à la Maison Blanche , a déclaré que l'administration Bush continue de croire que cette politique environnementale saperait l'économie américaine.
"Nous sommes toujours très réservés quant à la lutte contre une seule cible " le carbone," a-t-il déclaré ennovembre. La plupart des projets de loi au Congrès ont visé la diminution des émissions de dioxyde de carbone ce qui augmenterait probablement les coût l'énergie.
Un porte-parole du CEC regrette les délais trop longs pour présenter ce rapport à l'ONU.
Le Conseil de la Qualité de l'Environnement de la Maison Blanche, CEQ, responsable du rapport interne, affirme que l'administration Bush sait comment faire pour mettre un frein significatif à ces émissions au-delà du simple ralentissement qui deviendront conformes aux exigences des scientifiques.
" Le rapport prévoit des sécheresses croissantes et "une nette réduction " du manteau neigeux de printemps dans les états nord-ouest, ce qui alimente la majeure partie en eau potable cette région.
Les Etats-Unis sont actuellement le plus grand émetteur de gaz à effet de serre - elles sont responsables du quart des émissions totales dans le monde.
Quand le Président George W. Bush est entré en fonction en 2001, un de ses premiers actes politiques fut de désavouer le Protocole de Kyoto signé par le Président Bill Clinton qu'il n'a jamais envoyé au Sénat américain pour sa ratification.
Le protocole, qui est un amendement à la Convention cadre de l'ONU sur le Changement climatique, exige que la plupart des pays industrialisés réduisent pour fin 2012 leurs émissions de gaz à effet de serre de 5,2 % par rapport aux émissions de 1990.
Les dernières projections d'avant 2004 des Etats membres de l'Union européenne (l'UE 15) montrent que les émissions de gaz à effet de serre pouvaient être diminuées de 8 % avant 2010, ce qui correspondrait au niveau des années 1990.
Un rapport d'octobre de l'Agence d'Environnement européenne, EEA, montre que "si toutes les mesures de politique intérieure, déjà prises et projetées sont réellement mises en oeuvre, et si les recommandations de Kyoto sont respectées, l'UE 15 atteindra son objectif pris lors du Protocole de Kyoto."
D'après l'EEA, les 10 nouveaux Etats membres de l'Union européenne travaillent chacun dans cette voie pour réaliser leur propre objectif défini à Kyoto, malgré des émissions qui commencent, dues à une restructuration économique dans les années 1990. Les deux derniers Etats membres de l'Union européenne ne faisaient pas partie du bloc européen en octobre dernier au moment où le rapport a été rédigé.
Le président Bush défend sa position en expliquant que l'observation du Protocole de Kyoto aurait un effet négatif sur l'économie américaine. Il soutient la thèse que des réductions volontaires d'émissions et une meilleure technologie rendant plus propre l'utilisation du charbon , l'usage du nucléaire et meilleur rendement énergétique permettra de limiter le réchauffement climatique.
Les scientifiques américains, le monde des affaires et des groupes environnementaux s'accordent pour dire que si un réchauffement climatique irréversible doit être évité, des objectifs obligatoires encore plus rigoureux que ceux du Protocole de Kyoto devraient être pris.
En mesurant le manteau neigeux du Mt d'Oregon, en 2003, le projet du CEQ du rapport prévoit moins de neige dans le Nord-ouest du Pacifique dû au réchauffement climatique. Le 14 avril des militants manifesteront dans des villes au travers des Etast Unis pour appeler aux diminutions de 80 % des émissions de gaz à effet de serre avant 2050.
Le CEQ dit que sa version finale du rapport "montrera que les actions politiques préconisées par le Président Bush, concernant le changement climatique, seront positives.
Le projet du rapport américain vient un mois après celui du conseil Intergouvernemental sur le Changement climatique, et un avertissement plus fort fera date- la découverte de ce réchauffement climatique est réel, la civilisation industrielle est " responsable" et l'on s'attend à ce que le réchauffement continue pendant des siècles, même si les émissions de gaz à effet de serre sont contenues.
La moyenne des températures mondiales pourrait augmenter de plus de six degré Celsius (11 Fahrenheit) vers la fin de ce siècle, déclare le conseil.
Le rapport d'IPCC a été approuvé par 113 gouvernements, y compris les Etats-Unis.
Les états américains prennent en compte l'initiative du gouvernement fédéral avec quatre programmes régionaux pour restreindre des émissions de gaz. La Californie mène une politique visant avant à ramener 2020 les taux de gaz à ceux de 1990 et les diminuer avant 2050 de 80% .
Un ensemble de lois touchant à tous les domaines, voté par les deux partis, exigeant un contrôle des émissions de gaz à effet de serre et des plans de réduction du dioxyde de carbone sont étudiés par le Congrès sous contrôle démocrate.
James Connaughton, le président du Conseil de la Qualité de l'environnement à la Maison Blanche , a déclaré que l'administration Bush continue de croire que cette politique environnementale saperait l'économie américaine.
"Nous sommes toujours très réservés quant à la lutte contre une seule cible " le carbone," a-t-il déclaré ennovembre. La plupart des projets de loi au Congrès ont visé la diminution des émissions de dioxyde de carbone ce qui augmenterait probablement les coût l'énergie.
Un porte-parole du CEC regrette les délais trop longs pour présenter ce rapport à l'ONU.
Bush Climate Report Shows U.S. Greenhouse Gases Skyrocketing
WASHINGTON, DC, March 5, 2007 (ENS) The United States will emit about 20 percent more greenhouse gases by 2020 than it did in 2000, according to a draft report that the Bush administration was scheduled to submit to the United Nations a year ago.
The internal administration report, which was obtained by the Associated Press, estimates that U.S. emissions of greenhouse gases from the burning of coal, oil, and natural gas will rise from 7.7 billion tons in 2000 to 9.2 billion tons in 2020 - an increase of 19.5 percent.
The growth in emissions was expected, but highlights how out of touch the Bush administration is with world opinion and the efforts of other countries to curb climate change.
The White House Council on Environmental Quality, CEQ, which is responsible for the draft report, says that how much the administration can do to cut emissions beyond merely slowing the rate of increase will become clear "as the science justifies."
The report forecasts increasing droughts and "a distinct reduction" in the spring snowpack covering the northwestern states, which supplies most of the region's drinking water.
The United States currently is the largest emitter of greenhouse gases - responsible for about one-quarter of the world's emisssions.
When President George W. Bush took office in 2001, one of his first acts was to repudiate the Kyoto Protocol signed by President Bill Clinton, and it has never been sent to the U.S. Senate for ratification.
The protocol, an amendment to the UN Framework Convention on Climate Change, requires most industrialized countries to reduce their greenhouse gas emissions by 5.2 percent below 1990 levels by the end of 2012.
The latest projections from pre-2004 EU Member States (EU-15) show that greenhouse gas emissions could be brought down to eight percent below 1990 levels by 2010. An October report by the European Environment Agency, EEA, shows that "if all existing and planned domestic policy measures are implemented and Kyoto mechanisms as well as carbon sinks are used, the EU-15 will reach its Kyoto Protocol target."
The next 10 new EU member states also are on track to achieve their individual Kyoto targets, despite rising emissions, largely due to economic restructuring in the 1990s, says the EEA. The two most recent EU member states were not part of the block last October when the report was produced.
President Bush has said that abiding by the Kyoto Protocol would hurt the U.S. economy. He has argued that voluntary emissions reductions and better technology such as clean coal, nuclear power, and energy efficiency would do the job of limiting global warming.
U.S. scientists, businesses and environmental groups say that if irreversible global warming is to be avoided, binding targets even more stringent than those of the Kyoto Protocol should be set.
Measuring the snowpack on Oregon's Mt. Hood, 2003. The CEQ draft report predicts less snow in the Pacific Northwest as the climate warms. (Photo courtesy OSU)
On April 14 campaigners will be demonstrating in cities across the United Sttates to call for 80 percent cuts in greenhouse gas emissions by 2050.
The CEQ says its final version of the report will "show that the president's portfolio of actions and his financial commitment to addressing climate change are working."
The draft U.S. report comes one month after the Intergovernmental Panel on Climate Change, IPCC, issued their strongest warning to date - finding that global warming is occurring, that humans are "very likely" responsible, and that warming is expected to continue for centuries, even if greenhouse gas emissions are curbed at once.
Average global temperatures could rise by over six degree Celsius (11 Fahrenheit) by the end of the century, the panel said.
The IPCC report was endorsed by 113 governments, including the United States.
The U.S. states are taking the initiative from the federal government with four regional programs to curb reenhouse gas emissions. California has led the field by aiming to cut its emissions to 1990 levels by 2020 and to meet the target of 80 percent below 1990 levels by 2050.
A variety of bipartisan legislation establishing controls on greenhouse gas emissions and cap-and-trade plans for the main greenhouse gas carbon dioxide are making their way through the Democrat-controlled Congress.
James Connaughton, chairman of the White House Council on Environmental Quality, has said the administration stands firm on its belief that regulating carbon emissions would undermine the U.S. economy.
"We still have very strong reservations about an overarching, one-size-fits-all mandate about carbon," he said in November. Connaughton said most bills in Congress aimed at cutting emissions of carbon dioxide probably would raise energy prices.
A CEQ spokesperson blamed the delay in submitting the report to the United Nations on an "extensive interagency review process."
The Board of Directors of the American Association for the Advancement of Science warned at its annual meeting in February that, "Delaying action to address climate change will increase the environmental and societal consequences as well as the costs. The longer we wait to tackle climate change, the harder and more expensive the task will be," the scientists said.
The internal administration report, which was obtained by the Associated Press, estimates that U.S. emissions of greenhouse gases from the burning of coal, oil, and natural gas will rise from 7.7 billion tons in 2000 to 9.2 billion tons in 2020 - an increase of 19.5 percent.
The growth in emissions was expected, but highlights how out of touch the Bush administration is with world opinion and the efforts of other countries to curb climate change.
The White House Council on Environmental Quality, CEQ, which is responsible for the draft report, says that how much the administration can do to cut emissions beyond merely slowing the rate of increase will become clear "as the science justifies."
The report forecasts increasing droughts and "a distinct reduction" in the spring snowpack covering the northwestern states, which supplies most of the region's drinking water.
The United States currently is the largest emitter of greenhouse gases - responsible for about one-quarter of the world's emisssions.
When President George W. Bush took office in 2001, one of his first acts was to repudiate the Kyoto Protocol signed by President Bill Clinton, and it has never been sent to the U.S. Senate for ratification.
The protocol, an amendment to the UN Framework Convention on Climate Change, requires most industrialized countries to reduce their greenhouse gas emissions by 5.2 percent below 1990 levels by the end of 2012.
The latest projections from pre-2004 EU Member States (EU-15) show that greenhouse gas emissions could be brought down to eight percent below 1990 levels by 2010. An October report by the European Environment Agency, EEA, shows that "if all existing and planned domestic policy measures are implemented and Kyoto mechanisms as well as carbon sinks are used, the EU-15 will reach its Kyoto Protocol target."
The next 10 new EU member states also are on track to achieve their individual Kyoto targets, despite rising emissions, largely due to economic restructuring in the 1990s, says the EEA. The two most recent EU member states were not part of the block last October when the report was produced.
President Bush has said that abiding by the Kyoto Protocol would hurt the U.S. economy. He has argued that voluntary emissions reductions and better technology such as clean coal, nuclear power, and energy efficiency would do the job of limiting global warming.
U.S. scientists, businesses and environmental groups say that if irreversible global warming is to be avoided, binding targets even more stringent than those of the Kyoto Protocol should be set.
Measuring the snowpack on Oregon's Mt. Hood, 2003. The CEQ draft report predicts less snow in the Pacific Northwest as the climate warms. (Photo courtesy OSU)
On April 14 campaigners will be demonstrating in cities across the United Sttates to call for 80 percent cuts in greenhouse gas emissions by 2050.
The CEQ says its final version of the report will "show that the president's portfolio of actions and his financial commitment to addressing climate change are working."
The draft U.S. report comes one month after the Intergovernmental Panel on Climate Change, IPCC, issued their strongest warning to date - finding that global warming is occurring, that humans are "very likely" responsible, and that warming is expected to continue for centuries, even if greenhouse gas emissions are curbed at once.
Average global temperatures could rise by over six degree Celsius (11 Fahrenheit) by the end of the century, the panel said.
The IPCC report was endorsed by 113 governments, including the United States.
The U.S. states are taking the initiative from the federal government with four regional programs to curb reenhouse gas emissions. California has led the field by aiming to cut its emissions to 1990 levels by 2020 and to meet the target of 80 percent below 1990 levels by 2050.
A variety of bipartisan legislation establishing controls on greenhouse gas emissions and cap-and-trade plans for the main greenhouse gas carbon dioxide are making their way through the Democrat-controlled Congress.
James Connaughton, chairman of the White House Council on Environmental Quality, has said the administration stands firm on its belief that regulating carbon emissions would undermine the U.S. economy.
"We still have very strong reservations about an overarching, one-size-fits-all mandate about carbon," he said in November. Connaughton said most bills in Congress aimed at cutting emissions of carbon dioxide probably would raise energy prices.
A CEQ spokesperson blamed the delay in submitting the report to the United Nations on an "extensive interagency review process."
The Board of Directors of the American Association for the Advancement of Science warned at its annual meeting in February that, "Delaying action to address climate change will increase the environmental and societal consequences as well as the costs. The longer we wait to tackle climate change, the harder and more expensive the task will be," the scientists said.