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POLLUTIONS DANS LE MONDE

Les grands lacs d'Amérique du Nord disparaissent !

Alors que les cinq grands lacs se vident de façon alarmante, quelques personnes commencent à montrer du doigt le réchauffement climatique à l'origine du mal.



Les grands lacs d'Amérique du Nord disparaissent !
Les grands lacs, ainsi nommés parce qu’immenses et recélant une prodigieuse réserve d'eau douce, ne sont pas si grands qu'on le croit.

Les prévisionnistes du gouvernement canadien estiment que le Lac supérieur, le plus important des cinq lacs, sera en septembre à son niveau le plus bas depuis un siècle, date des premiers relevés. Le débit du lac mesuré au confluent de la rivière St Marie a lui aussi tellement chuté qu’une improbable augmentation de 50 % suffirait à peine pour qu’il retrouve les moyennes du siècle passé.

Les niveaux des lacs Michigan et Huron ont eux aussi sérieusement diminué, à l'instar des lacs Ontario et Erié même si ce dernier, le moins important en volume a été le moins affecté par ce phénomène généralisé.

Que se passe-t-il ?

Alors qu'il n'y a aucune certitude scientifique expliquant les causes de ce mal qui touche ces grands lacs- un réseau hydrographique qui constitue la plus vaste réserve au monde d'eaux douces de surface- on craint que le réchauffement climatique n’est commencé son œuvre, responsable de leur réduction.

Les grands lacs d'Amérique du Nord disparaissent !
Pour les lacs Michigan et Huron, il y a un souci supplémentaire, l'intervention des hommes peut l’avoir fait surgir ce qui se chiffrerait en une fuite géante. Les écologistes affirment que les opérations de dragage, qui eurent lieu il y a des dizaines d’années, aux abords de Sarnia cause la perte d'énorme quantité d'eau, estimée à 10 milliards de litres par jour soit l'équivalent de 4000 piscines olympiques.

La diminution du niveau du lac n'est pas chose nouvelle pour M. Gary Vent dont la maison domine la Georgian Bay, un bras du lac Huron, près de Waubaushene en Ontario. Il peut en constater les conséquences : la rive qui était à une cinquante mètres de sa résidence est désormais éloignée de plus de cent cinquante mètres. Cette nouvelle terre due à l'assèchement des bords du lac est suffisamment étendue pour y jouer au golf alors qu'il y a six ans il y appontait son bateau.

« Et on peut taper avec un solide fer n° 7 », dit-il « j'ai un golf à la place de mon ponton. »


Les grands lacs d'Amérique du Nord disparaissent !
Les niveaux des grands Lacs subissent des fluctuations saisonnières provoquées par le gel et le dégel du printemps et de la fonte des neiges. Ils connaissent des cycles longs (qui peuvent durer 30 ans) alternant les niveaux bas et hauts sans raisons identifiées qui peuvent varier d'un mètre et plus selon les années.

Les lacs retiennent un cinquième de la ressource en eau douce de la planète. Cette différence de niveau d'un mètre est une goutte d'eau en comparaison des volumes de ces lacs, 99 % de l'eau contenue dans ces lacs est réputée provenir des fontes de la dernière ère glacière et n'est pas renouvelable.

Seulement 1 % environ se reconstitue chaque année grâce aux pluies, et ce qui doit compenser ce que perdent les lacs qui se déversent dans la rivière st. Lawrence pour aller se jeter dans l'Océan Atlantique. Et bien que les lacs soient étendus, ils ne sont pas illimités. À part le lac Supérieur, leur profondeur moyenne est de moins de 100 mètres (comparée aux de 3,000 mètres de profondeurs des océans.)

Les lacs sont maintenant au milieu d'un de leur cycle bas périodique. Mais celui-ci semble beaucoup plus important que d'habitude, durant presque une décennie - ce qui incite à se poser des questions sur l'influence du réchauffement climatique.

Des projections de modèles informatiques montrent généralement que le niveau des lacs diminuera en même temps que la hausse des températures dues aux changements climatiques. Non seulement la température des lacs eux-mêmes va devenir plus chaude, ce qui leur fera perdre plus d'eau par évaporation, mais la terre va probablement devenir plus sèche, réduisant l'apport d'eau souterraine aux rivières qui alimentent les lacs.

A l'heure actuelle, le réchauffement global est pure spéculation, mais Mme Mary Muter pense qu'elle détient une autre explication encore plus sombre qui va empirer par rapport à la situation actuelle. Au moins pour les lacs Michigan et Huron qui se jouxtent à l'extrême nord et qui ont de fait le même niveau d'eau.

Mme Muter, responsable environnement de l'association "georgian Bay" avance une toute autre théorie controversée, la déperdition inéluctable des eaux des deux lacs serait dû aux conséquences des opérations de dragage de la rivière St Clair effectuées au début des années 60.
Elle pense que ces opérations ont érodé le lit de la rivière et au fil des années, elles l'ont rendu plus profond encore. Ainsi le débit de la rivière est devenu plus important quand il se jette dans le lac Erié. Et l'érosion augmente toujours plus le chenal.

En 2005, l'association a commandité une étude qui a estimé que l'érosion a provoqué une déperdition d'eau estimée par jour de l'ordre de 3,2 milliards de litres. Le mois dernier, une autre étude tenant compte des projections plus récentes sur les niveaux des lacs a annoncé que ces chiffres étaient plus proches encore de 10 milliards de litres, on est donc amené à penser que l'équilibre écologique des lacs est en danger. Depuis 1970, cet extraordinaire écoulement d'eau serait la cause d'une baisse des niveaux de 60 centimètres d'après l'association.

La commission internationale, binationale entre les USA et le Canada qui supervise la gestion des lacs a annoncé sa décision de lancer une étude sur ce phénomène de baisse des niveaux des lacs Supérieurs, Michigan et Huron. Mais sur cette énorme perte d'eau, elle ne pourra communiquer ses premiers résultats que dans 3 ans.

Mme Muter déclare que le problème pourrait être facilement résolu en reconstituant le lit de la rivière en y précipitant de larges blocs de pierre là où le lit est le plus abimé, pour diminuer le flux, « en tout cas quelque chose doit être fait au plus vite » dit-elle, « étant donné que la plupart de l'eau qui s'écoule est une eau non-renouvelable ».

« Je considère presque immoral de ne pas redresser la situation », dit-elle, "Combien de temps allons-nous attendre avant de faire ce qu'il faut ?"

L'agence Environnement Canada veut attendre les conclusions de la commission binationale avant de considérer d'entreprendre des travaux pour freiner le phénomène. « Nous allons voir quelles sont les conclusions de leurs études afin de savoir si l'érosion est le facteur premier ou secondaire ou s'il n'a aucune influence sur cette actuelle baisse de niveau, » déclare Ralph Moulton, un ingénieur senior de l'agence du gouvernement canadien Environnement Canada.

Le lac supérieur se vide lentement. « Il connait des baisses de niveau en-dessous de la moyenne depuis une dizaine d'années, la plus longue période depuis que des relevés sont faits, » affirme M. Moulton, « et ce qui va conduire certainement en septembre, à un nouveau record de baisse du niveau du lac qui éclipsera de quelques centimètres celui, historique, de 1926. »

Le niveau du Lac Supérieur est allé en diminuant en partie à cause d'un manque de pluie dans la région où se situe la fuite constatée. L'année dernière, les précipitations étaient à leur niveau le bas depuis les années 1920. Mais un autre fait nouveau inquiétant se profile, les eaux du lac supérieur se réchauffe tout comme la température ambiante autour du lac. Suite à une étude de l'université du Minnesota, les chercheurs ont révélé cette année que les températures de l'eau en période estivale ont augmenté de 2,5 degré de 1979 à 2006.

Il n'y a pas d'erreur sur le réchauffement – le lac a une couverture de glace moins épaisse en hiver, moins étendue et perd plus d'eau par évaporation.

Dans le même temps, on a relevé que le niveau du lac Ontario a baissé de 20 cm par rapport à son niveau moyen, une baisse de 10 cm a été constatée pour le lac Erié.

D'après M.Moulton, les projections de l'agence Environnement Canada évaluent selon différents scénarii, que le réchauffement climatique pourra être à l'origine d'une baisse des niveaux des eaux des lacs pouvant atteindre 1,20m en 2050, bien que, d'après les simulations, les précipitations devraient augmenter, ce qui n'est pas encore le cas.

Savoir si le réchauffement climatique commence à assécher les lacs ou non est une question à 64 000 dollars.


traduction NT et SDT


The Great Lakes disappearing act

Les grands lacs d'Amérique du Nord disparaissent !
As all five shrink at an alarming pace, some people have begun to fear global warming is the culprit MARTIN MITTELSTAEDT

From Monday's Globe and Mail

September 24, 2007 at 3:02 AM EDT

The Great Lakes, so named because of their immense size and prodigious water content, aren't as great as they used to be.

Government forecasters are projecting that Lake Superior, the largest of the five, will fall to its lowest level for September since modern recordkeeping began nearly a century ago. The amount flowing out of the lake at its outlet, the St. Mary's River, has plunged too, and would have to rise by a staggering 50 per cent to reach the average of the past century.

Levels on Lakes Michigan and Huron are also sagging, Ontario is down, as is Erie – although the latter, the smallest by volume, has been the least affected.

What's going on? While there is no scientific certainty about what's ailing the Great Lakes – which together form the world's largest interconnected body of fresh water – some fear global warming is at work, causing them to shrink.


For Michigan and Huron, there is an added concern: Human meddling may have made them spring what amounts to a giant leak. Environmentalists contend that decades-ago dredging near Sarnia is causing them to lose an enormous amount of water – estimated at about an extra 10 billion litres a day, or enough to fill 4,000 Olympic-size pools.

The falling water levels aren't news to Gary Vent, whose home overlooks Georgian Bay, an arm of Lake Huron, near Waubaushene, Ont. He can see the effects: The shoreline that used to be 50 metres from his house is now more than 150 metres. Newly emerging land from the drying lakebed means that, where he docked his boat just six years ago, he now plays golf.

“You can hit a solid seven iron,” he says. “I've got a golf course now instead of a place to park my boat.”

Water levels on the Great Lakes go through seasonal fluctuations driven by the flow and ebb of the spring snow melt. They also experience lengthy – perhaps as long as 30 years – alternating cycles of high and low readings that occur for unknown reasons and can cause levels to vary by a metre or even more over the years.

The lakes contain about one-fifth of all the fresh water on the planet. Although a drop of a metre may not seem like much compared to what they contain, about 99 per cent of the lake water is considered a legacy of the last ice age and is basically non-renewable.

Only about 1 per cent is replenished each year through precipitation, and has to offset what flows out of the lakes through the St. Lawrence River into the Atlantic Ocean. And while the lakes are big, they're not limitless. Except for Superior, their average depth is less than 100 metres (compared to oceans that plunge more than 3,000 metres.)

The lakes are now in the midst of one of their periodic down cycles. But this one seems much more extreme than usual, lasting for nearly a decade – prompting questions about global warming.

Computer model projections generally show that the lakes will shrink as climate changes cause air temperatures around them to rise. Not only will the lakes themselves become warmer, leading them to lose more water to evaporation, but the land is likely to become drier, reducing the supply of groundwater to streams that feed the lakes.

At this point, global warming is speculation, but Mary Muter thinks she has another explanation for why things are worse this time, at least for Lakes Michigan and Huron, which are joined at their northern tips and consequently have the same water level.


Ms. Muter, head of the environment committee for the Georgian Bay Association, is advancing a controversial theory that the two lakes are inadvertently being drained because of the effects of dredging on the St. Clair River in the early 1960s.

She believes dredging has made the river bed more susceptible to erosion, which over time has deepened it, and caused more water to flow into Lake Erie. “The drain hole is getting bigger,” she says.

In 2005, the group commissioned a study that estimated the erosion had caused an extra daily outflow of about 3.2 billion litres. An update issued last month, using more recent estimates on lake levels, upped the figure to 10 billion litres, leading to concerns that the ecological integrity of the lakes was being damaged. Since 1970, the extra drainage has lowered the levels of the lakes by an estimated 60 centimetres, the group says.

The International Joint Commission, the organization that oversees the lakes for the Canadian and U.S. governments, has announced that it will study water levels on Lakes Superior, Michigan and Huron, but it isn't expected to report its findings on the giant leak for another three years.

Ms. Muter says the problem could easily be fixed by piling large boulders into vulnerable parts of the riverbed to shore it up, something she says should be done right away, given that most of the water draining away is a non-renewable resource.

“I consider it bordering on immoral to not address this,” she says. “How much longer are we going to wait to do the right thing?”

Environment Canada wants to see what the IJC concludes before considering mitigation measures. “We'll be looking to see what they find out in their study to see if [riverbed erosion] is a primary factor or whether it's a secondary factor or no factor in the change in levels that's occurring,” says Ralph Moulton, a senior engineer at Environment Canada.

Lake Superior is also undergoing travails. It's experienced below-average water levels for nearly 10 years, the longest period of below-average readings on record. Mr. Moulton says the lake is “almost certainly” going to set a new record for the lowest September, eclipsing the previous low-water mark set in 1926, probably by a few centimetres.

Lake Superior levels are being driven down in part by a lack of rain in the area it drains. Last year, precipitation was at its lowest since the mid-1920s.

But another worrisome development is that Superior has been getting warmer, a reflection of higher air temperatures around the lake. According to a study by University of Minnesota researchers released this year, summer water temperatures rose about 2.5 degrees from 1979 to 2006.

There is no mistaking the warming – the lake has less ice cover in winter. And with Superior not freezing over as much, more of its water is being lost to evaporation.

Meanwhile, Lake Ontario is about a fifth of a metre below its average level, and Lake Erie is down by a little more than a tenth of a metre.

Mr. Moulton says Environment Canada modelling indicates that under all the scenarios used, global warming will cause water levels to drop, possibly by as much as 1.2 metres by 2050, although he also says these simulations show precipitation will rise, which hasn't occurred.

Whether global warming is beginning to dry out the lakes, he says, “is the $64,000 question.”



Mardi 30 Octobre 2007
Mardi 30 Octobre 2007
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