La CACE constate que le ballet continu des réticences, timidités et

fait supporter le coût de la protection et la gestion de l'eau presque exclusivement par les usagers domestiques et épargne les vrais responsables d'une gestion caractérisée
par le gaspillage, la dégradation et la pollution
La CACE constate que les mesures prises actuellement favorisent la déréglementation en matière de protection des ressources alors que l'interdiction de polluer et la fermeture des établissements pollueurs ne sont pas prévues
La CACE exige que les « chartes solidarité eau » soient effectivement créées afin de protéger les usagers en difficulté contre les coupures d'eau
La CACE exige aussi la suppression d'une tarification dégressive
La CACE met en garde contre certaines interprétations de la loi SRU du 13 décembre 2000 qui amalgament les notions d'individualisation des compteurs et celle des contrats, cette dernière conduisant à une augmentation du prix de l'eau au seul bénéfice des délégataires
La CACE encourage les collectivités locales à revenir à une gestion en régie publique
Les associations du réseau de la CACE continueront à agir pour l'impulsion d'une véritable politique démocratique de l'eau qui soit déconnectée de l'emprise des lobbies « L'objectif d'un bon état de l'eau en 2015 » fixé par la loi sur l'eau s'avère très timide et très insuffisant et apparaît au mieux comme une modeste déclaration d'intention, les pesticides étant présents dans 75% des cours d'eau et la moitié des nappes phréatiques
L'eau n'est pas une marchandise !
par le gaspillage, la dégradation et la pollution
La CACE constate que les mesures prises actuellement favorisent la déréglementation en matière de protection des ressources alors que l'interdiction de polluer et la fermeture des établissements pollueurs ne sont pas prévues
La CACE exige que les « chartes solidarité eau » soient effectivement créées afin de protéger les usagers en difficulté contre les coupures d'eau
La CACE exige aussi la suppression d'une tarification dégressive
La CACE met en garde contre certaines interprétations de la loi SRU du 13 décembre 2000 qui amalgament les notions d'individualisation des compteurs et celle des contrats, cette dernière conduisant à une augmentation du prix de l'eau au seul bénéfice des délégataires
La CACE encourage les collectivités locales à revenir à une gestion en régie publique
Les associations du réseau de la CACE continueront à agir pour l'impulsion d'une véritable politique démocratique de l'eau qui soit déconnectée de l'emprise des lobbies « L'objectif d'un bon état de l'eau en 2015 » fixé par la loi sur l'eau s'avère très timide et très insuffisant et apparaît au mieux comme une modeste déclaration d'intention, les pesticides étant présents dans 75% des cours d'eau et la moitié des nappes phréatiques
L'eau n'est pas une marchandise !