
Cette pollution oblige la ville à injecter dans son eau 16 tonnes de produits par jour, en moyenne, pour maintenir la qualité de son eau potable. La situation devient intenable, puisque cette pollution va sans doute perdurer du fait du changement climatique et de l’intensification du développement des régions amont. Cependant, les New-Yorkais ont encore bon espoir de sauvergarder leur exception -qu’ils partagent avec quatre autres grandes villes, Boston, San Franciso, Seattle et Portland-, grâce à des alternatives au filtrage, qui représenterait un investissement très lourd. Dernière idée en date, après la simple décantation: la purification des eaux par les ultra-violets.