À commencer par le prix de l'eau qui est toujours sur la voie, progressive, d'un prix unique, à l'horizon 2019, pour l'ensemble des abonnés des 27 communes. L'an prochain donc, dans les communes de Bernis, Bezouce, Bouillargues, Caveirac, Garons, Générac, Manduel, Marguerittes, Nîmes, Saint-Gervasy, Sernhac, Caissargues, Clarensac, Langlade, Lédenon, Milhaud, Poulx, Rodilhan, Saint-Côme-et-Maruéjols, Saint-Dionizy, le mètre cube d'eau potable sera facturé 2,9831 . Pour les habitants de La Calmette, Saint-Chaptes
et Dions, il en coûtera 2,0245 . Pour Cabrières : 2,5118 ; Redessan : 2,8181 HT ; Saint-Gilles et Sainte-Anastasie : 3,4066 .
Par ailleurs, et compte tenu des contrats d'affermage qui arrivent à terme au 31 décembre 2010, l'Agglo a conclu de nouveaux contrats, en divisant son territoire en quatre secteurs autour de Nîmes. Sur le secteur est, Bezouce, Redessan, Saint-Gervasy, Bouillargues, Garons, Caissargues, Manduel, Poulx et Sernhac ont un nouveau délégataire : pour l'eau potable, c'est la Saur qui a décroché un nouveau contrat, pour 9 ans, au prix de 0,89 le m3. L'assainissement passe à Veolia pour 0,76 le m3.
Sur le secteur ouest, Clarensac, Langlade, Saint-Côme-et-Maruéjols, Saint-Dionizy, Bernis, Caveirac, Milhaud seront servis par la Lyonnaise des eaux, pour 0,895 le m3. Générac reste à Veolia pour 0,53 le m3. L'assainissement passe à la Lyonnaise des eaux pour 0,72 le m3.
À noter que sur l'ensemble de ces contrats, Nîmes Métropole a obtenu l'équivalent du tarif actuel ou une baisse, qui de toute manière, compte tenu de l'harmonisation des tarifs, ne profitera pas à l'usager. Ces économies, environ 130 000 permettront à l'Agglo d'augmenter sa part d'investissements.
En revanche, les consommateurs, eux, mettront tous la main à la poche pour s'acquitter de la redevance d'assainissement. Y compris ceux qui tirent leur eau d'un forage et qui, jusqu'à présent, en étaient dispensés. Cette taxe sera calculée soit à partir d'un compteur, soit sur la base de critères (surface de l'habitation, du terrain, nombre d'habitants) permettant d'évaluer le volume d'eau prélevé et donc rejeté.
Autant de dossiers qui ont suscité un certain nombre de discussions dans les commissions de l'Agglo : certains élus ne se sont pas privés de regretter que les services de l'Agglo n'aient pas jugé utile d'établir une comparaison entre les tarifs obtenus auprès des fermiers et ceux d'une éventuelle régie directe. La redevance d'assainissement fait également tousser dans les rangs de Nîmes Métropole. Quelques délégués communautaires envisagent de voter contre cette décision.
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et Dions, il en coûtera 2,0245 . Pour Cabrières : 2,5118 ; Redessan : 2,8181 HT ; Saint-Gilles et Sainte-Anastasie : 3,4066 .
Par ailleurs, et compte tenu des contrats d'affermage qui arrivent à terme au 31 décembre 2010, l'Agglo a conclu de nouveaux contrats, en divisant son territoire en quatre secteurs autour de Nîmes. Sur le secteur est, Bezouce, Redessan, Saint-Gervasy, Bouillargues, Garons, Caissargues, Manduel, Poulx et Sernhac ont un nouveau délégataire : pour l'eau potable, c'est la Saur qui a décroché un nouveau contrat, pour 9 ans, au prix de 0,89 le m3. L'assainissement passe à Veolia pour 0,76 le m3.
Sur le secteur ouest, Clarensac, Langlade, Saint-Côme-et-Maruéjols, Saint-Dionizy, Bernis, Caveirac, Milhaud seront servis par la Lyonnaise des eaux, pour 0,895 le m3. Générac reste à Veolia pour 0,53 le m3. L'assainissement passe à la Lyonnaise des eaux pour 0,72 le m3.
À noter que sur l'ensemble de ces contrats, Nîmes Métropole a obtenu l'équivalent du tarif actuel ou une baisse, qui de toute manière, compte tenu de l'harmonisation des tarifs, ne profitera pas à l'usager. Ces économies, environ 130 000 permettront à l'Agglo d'augmenter sa part d'investissements.
En revanche, les consommateurs, eux, mettront tous la main à la poche pour s'acquitter de la redevance d'assainissement. Y compris ceux qui tirent leur eau d'un forage et qui, jusqu'à présent, en étaient dispensés. Cette taxe sera calculée soit à partir d'un compteur, soit sur la base de critères (surface de l'habitation, du terrain, nombre d'habitants) permettant d'évaluer le volume d'eau prélevé et donc rejeté.
Autant de dossiers qui ont suscité un certain nombre de discussions dans les commissions de l'Agglo : certains élus ne se sont pas privés de regretter que les services de l'Agglo n'aient pas jugé utile d'établir une comparaison entre les tarifs obtenus auprès des fermiers et ceux d'une éventuelle régie directe. La redevance d'assainissement fait également tousser dans les rangs de Nîmes Métropole. Quelques délégués communautaires envisagent de voter contre cette décision.
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