A l'appel de l'Association pour un contrat mondial sur l'eau (ACME), de France Libertés et d'élus de diverses sensibilités et responsabilités, un Colloque se tiendra le 20 janvier 2005 à l'Assemblée nationale. Il sera consacré à la question vitale de l'eau qui est et sera, si rien ne change, un enjeu fondamental. Ce Colloque tournera autour de trois questions et cherchera à mettre en évidence des alternatives et des exigences, du local au mondial en visant le court, le moyen et le long terme.
Les contrats d'affermage, la création d'une commission d'enquête parlementaire sur les provisions de Veolia-CGE(ex Vivendi) .
Ces contrats, source de grande opacité, des services publics de l'eau sont délégués par 60% des collectivités représentant 80% des usagers à trois multinationales françaises dont certaines détournent et placent en offshore des sommes colossales, ce qui nécessite qu'une commission d'enquête parlementaire, dont la demande est faite, soit réalisée pour faire toute la lumière. L'eau est ainsi devenue au fil du temps une marchandise comme les autres. Les contrats d'affermage viennent à échéance, pour un très grand nombre, dans les trois prochaines années. L'objectif que nous entendons poursuivre est le retour au public, en régie directe, de la gestion de l'eau avec la participation des associations d'usagers et des syndicats.
L'accès à l'eau pour tous sur la planète.
Le monde vit une catastrophe et le raz de marée d'Asie du Sud nous le rappelle : 1,5 milliards d'individus n'ont pas accès à l'eau ; 3 milliards ne disposent pas d'un assainissement réel ; 30.000 personnes meurent par jour par absorption d'eau non potable. L'eau est par ailleurs dangereusement polluée par différents utilisateurs et distribuée inégalement. Cette ressource naturelle est en péril. Nous demandons spécialement que 1% des budgets militaires de tous les pays soient affecté pour l'accès de tous à l'eau. Un droit minimum de 40 litres par jour et par habitant doit être garanti.
Une gestion publique mondiale.
Nous refusons l'AGCS de l'OMC et son modèle tout libéral qui offre l'eau au pillage destructeur des multinationales. Il en va de même des partenariats « privé public ». Maîtriser les ressources hydrauliques mondiales qui sont un bien public global suppose tout à la fois de mettre en place un service mondial de l'eau doté d'un tribunal et assis sur une participation des peuples. Sans attendre, nous exigeons la mise en place d'une taxe sur les eaux en bouteilles qui représentent une source de profits immenses, indus et inadmissibles.
Ensemble : élus locaux, nationaux et européens, associations et syndicalistes, luttons et obtenons une autre politique de l'eau en France, en Europe et dans le monde !
Appel ouvert à signature. Les premiers signataires :
Les contrats d'affermage, la création d'une commission d'enquête parlementaire sur les provisions de Veolia-CGE(ex Vivendi) .
Ces contrats, source de grande opacité, des services publics de l'eau sont délégués par 60% des collectivités représentant 80% des usagers à trois multinationales françaises dont certaines détournent et placent en offshore des sommes colossales, ce qui nécessite qu'une commission d'enquête parlementaire, dont la demande est faite, soit réalisée pour faire toute la lumière. L'eau est ainsi devenue au fil du temps une marchandise comme les autres. Les contrats d'affermage viennent à échéance, pour un très grand nombre, dans les trois prochaines années. L'objectif que nous entendons poursuivre est le retour au public, en régie directe, de la gestion de l'eau avec la participation des associations d'usagers et des syndicats.
L'accès à l'eau pour tous sur la planète.
Le monde vit une catastrophe et le raz de marée d'Asie du Sud nous le rappelle : 1,5 milliards d'individus n'ont pas accès à l'eau ; 3 milliards ne disposent pas d'un assainissement réel ; 30.000 personnes meurent par jour par absorption d'eau non potable. L'eau est par ailleurs dangereusement polluée par différents utilisateurs et distribuée inégalement. Cette ressource naturelle est en péril. Nous demandons spécialement que 1% des budgets militaires de tous les pays soient affecté pour l'accès de tous à l'eau. Un droit minimum de 40 litres par jour et par habitant doit être garanti.
Une gestion publique mondiale.
Nous refusons l'AGCS de l'OMC et son modèle tout libéral qui offre l'eau au pillage destructeur des multinationales. Il en va de même des partenariats « privé public ». Maîtriser les ressources hydrauliques mondiales qui sont un bien public global suppose tout à la fois de mettre en place un service mondial de l'eau doté d'un tribunal et assis sur une participation des peuples. Sans attendre, nous exigeons la mise en place d'une taxe sur les eaux en bouteilles qui représentent une source de profits immenses, indus et inadmissibles.
Ensemble : élus locaux, nationaux et européens, associations et syndicalistes, luttons et obtenons une autre politique de l'eau en France, en Europe et dans le monde !
Appel ouvert à signature. Les premiers signataires :