La vétusté des usines et du réseau de distribution est à l'origine de ce problème

. En 2002, une étude menée par l'Agence de gestion des eaux de Paris a déterminé un taux de pertes de 38 %. Selon la Régie des eaux de Hô Chi Minh-Ville, les pertes journalières, qui s'élèvent à 500 millions de dôngs, pourraient satisfaire les besoins d'un million de personnes.
Face à cette situation, la municipalité s'est fixé comme but d'abaisser les pertes techniques à un taux de 25 %. Sans oublier l'augmentation de la capacité de production, avec notamment la construction d'une nouvelle usine d'alimentation en eau, celle de Thu Duc, de 300.000 m3/jour. Afin d'atteindre ces objectifs, outre les moyens financiers internes, les autorités locales font appel aux aides de la communauté internationale.
La Régie des eaux de Hô Chi Minh-Ville et la firme française Fluidis-WMI ont signé, hier à Hô Chi Minh-Ville, un accord pour le lancement d'un projet pilote de réduction des eaux non facturées dans le quartier d'An Diên-An Phu. Il fait suite à un mémorandum signé en mai 2004, qui définit un ensemble de prestations visant à diagnostiquer les raisons des pertes techniques et commerciales, et proposer ensuite des solutions. Cette étude d'ingénierie porte sur un site pilote de 5 km2.
D'une durée de neuf mois, le projet pilote est financé par le gouvernement français. Fluidis-WMI est spécialisé dans l'amélioration des rendements techniques et commerciaux des réseaux de distribution en eau potable, dans la recherche et la réduction des volumes d'eau non facturés, l'optimisation des systèmes existants et leur gestion technique et commerciale.
Fluidis-WMI appartient au groupe Vinci, leader mondial dans la construction et les concessions.
Face à cette situation, la municipalité s'est fixé comme but d'abaisser les pertes techniques à un taux de 25 %. Sans oublier l'augmentation de la capacité de production, avec notamment la construction d'une nouvelle usine d'alimentation en eau, celle de Thu Duc, de 300.000 m3/jour. Afin d'atteindre ces objectifs, outre les moyens financiers internes, les autorités locales font appel aux aides de la communauté internationale.
La Régie des eaux de Hô Chi Minh-Ville et la firme française Fluidis-WMI ont signé, hier à Hô Chi Minh-Ville, un accord pour le lancement d'un projet pilote de réduction des eaux non facturées dans le quartier d'An Diên-An Phu. Il fait suite à un mémorandum signé en mai 2004, qui définit un ensemble de prestations visant à diagnostiquer les raisons des pertes techniques et commerciales, et proposer ensuite des solutions. Cette étude d'ingénierie porte sur un site pilote de 5 km2.
D'une durée de neuf mois, le projet pilote est financé par le gouvernement français. Fluidis-WMI est spécialisé dans l'amélioration des rendements techniques et commerciaux des réseaux de distribution en eau potable, dans la recherche et la réduction des volumes d'eau non facturés, l'optimisation des systèmes existants et leur gestion technique et commerciale.
Fluidis-WMI appartient au groupe Vinci, leader mondial dans la construction et les concessions.
La France prête une attention particulière à la fourniture et au traitement des eaux au Vietnam.

Une somme de 76 millions d'euros, sous forme d'aides publiques au développement (APD), a été investie dans 35 projets du genre depuis 1989. Cette année, le gouvernement français s'est engagé à octroyer dans ce domaine 40 millions d'euros (52 millions de dollars).
Un chiffre important sur le total de 400 millions de dollars d'APD promises par la France, en décembre dernier, lors de la conférence du Groupe consultatif des bailleurs de fonds du Vietnam.
Linh Huong
( 21/01/05 )