
ACME Les auteurs de la pétition demandent aux élus locaux des 144 communes membres du SEDIF de se prononcer et d’agir pour notamment une baisse substantielle du prix de l’eau (au moins 0,14 € HT/ m3).
Par ailleurs, en 2011,le contrat qui lie le SEDIF à Veolia arrive à échéance, les pétitionnaires demandent donc aux élus locaux d’envisager : la possibilité d’un non-renouvellement du contrat et du retour à une gestion publique et d’ouvrir en grand le débat à ce sujet. …
Par ailleurs, en 2011,le contrat qui lie le SEDIF à Veolia arrive à échéance, les pétitionnaires demandent donc aux élus locaux d’envisager : la possibilité d’un non-renouvellement du contrat et du retour à une gestion publique et d’ouvrir en grand le débat à ce sujet. …
Lire : La pétition
EAU
Pétition sur le Sedif
Sources :
Date : 07/12/2004
En France, les élus locaux ont massivement confié la gestion de l’eau à trois multinationales, la Compagnie Générale des Eaux (Veolia ex-Vivendi), la Lyonnaise des eaux (Ondeo-Suez) et la SAUR (Bouygues). Un quasi-monopole privé que l’on retrouve en région parisienne où le SEDIF (syndicat des eaux d’île de France) qui regroupe 144 communes, a délégué depuis 1922 la gestion et la distribution de l’eau à la Compagnie Générale des Eaux (Veolia).
Résultat de cette situation, une grande opacité, de multiples abus et un surcoût considérable pour les usagers (au moins 0,14 € HT/ m3 selon un audit réalisé en 1998). De plus, au moment où le vieillissement de nombreuses canalisations entraîne une dégradation de la qualité de l’eau et des fuites coûteuses, de graves questions pèsent sur les provisions pour le renouvellement des réseaux, versées par les usagers et placées par Vivendi (devenu Veolia) sur le compte d’une société en Irlande.
En 2005, un avenant du contrat qui lie le SEDIF à Veolia doit être négocié. Aussi nous demandons aux élus locaux des 144 communes membres du SEDIF de se prononcer et d’agir pour :
- une baisse substantielle du prix de l’eau (au moins 0,14 € HT/ m3)
- la restitution au sedif des produits financiers réalisés par Veolia sur la trésorerie du contrat (2,74 millions d’euros pour la seule année 2000)
- le rapatriement effectif d'Irlande des provisions de Veolia, qui ont été financées par les usagers pour le renouvellement des réseaux
- la transparence sur ce que paie l’abonné avec une facture lisible
- la transparence sur l’état des réseaux et les travaux effectués dans chaque commune
En 2011, le contrat qui lie le SEDIF à Veolia arrive à échéance. Aussi nous demandons aux élus locaux :
- d’envisager la possibilité d’un non-renouvellement du contrat et du retour à une gestion publique et d’ouvrir en grand le débat à ce sujet.
Pétition à l’initiative de l’Association pour un contrat mondial de l’eau avec le soutien de ….
Pétition sur le Sedif
Sources :
Date : 07/12/2004
En France, les élus locaux ont massivement confié la gestion de l’eau à trois multinationales, la Compagnie Générale des Eaux (Veolia ex-Vivendi), la Lyonnaise des eaux (Ondeo-Suez) et la SAUR (Bouygues). Un quasi-monopole privé que l’on retrouve en région parisienne où le SEDIF (syndicat des eaux d’île de France) qui regroupe 144 communes, a délégué depuis 1922 la gestion et la distribution de l’eau à la Compagnie Générale des Eaux (Veolia).
Résultat de cette situation, une grande opacité, de multiples abus et un surcoût considérable pour les usagers (au moins 0,14 € HT/ m3 selon un audit réalisé en 1998). De plus, au moment où le vieillissement de nombreuses canalisations entraîne une dégradation de la qualité de l’eau et des fuites coûteuses, de graves questions pèsent sur les provisions pour le renouvellement des réseaux, versées par les usagers et placées par Vivendi (devenu Veolia) sur le compte d’une société en Irlande.
En 2005, un avenant du contrat qui lie le SEDIF à Veolia doit être négocié. Aussi nous demandons aux élus locaux des 144 communes membres du SEDIF de se prononcer et d’agir pour :
- une baisse substantielle du prix de l’eau (au moins 0,14 € HT/ m3)
- la restitution au sedif des produits financiers réalisés par Veolia sur la trésorerie du contrat (2,74 millions d’euros pour la seule année 2000)
- le rapatriement effectif d'Irlande des provisions de Veolia, qui ont été financées par les usagers pour le renouvellement des réseaux
- la transparence sur ce que paie l’abonné avec une facture lisible
- la transparence sur l’état des réseaux et les travaux effectués dans chaque commune
En 2011, le contrat qui lie le SEDIF à Veolia arrive à échéance. Aussi nous demandons aux élus locaux :
- d’envisager la possibilité d’un non-renouvellement du contrat et du retour à une gestion publique et d’ouvrir en grand le débat à ce sujet.
Pétition à l’initiative de l’Association pour un contrat mondial de l’eau avec le soutien de ….