Pas question donc de poser aux 2 intervenants VEOLIA eau et Grand Lyon, les questions qui gènent.

A peine une douzaine de présents dont 3 ou 4 ACER et ATTAC.
La réunion était animé par Claire Tillon ingénieur en chef au service de l'eau du Grand Lyon et Texier directeur d'exploitation de VEOLIA eau Grand Lyon.
1 h de présentation des services de distribution et d'assainissement par Claire Tillon dont une seule diapo consacrée à la facture d'eau et bien sûr aucune allusion aux enjeux de la révision quinquennale et encore moins aux surfacturations et au contrat pourri et léonin à l'origine du fait que l'eau du Grand Lyon soit la 3ième plus chère de France (lire, relire et diffuser dans vos réseaux les pièces jointes).
1 h de conseils puérils aux usagers par Texier pour économiser l'eau et bien comprendre l'eau (niveau maternelle et brosse à reluire).
Quant au débat, il nous fut pratiquement impossible de nous exprimer au titre que nous n'appartenions pas au conseil de quartier et qu'il était polémique d 'informer sur la chèreté du prix de l'eau et sur le rôle des élus dans cette situation.
Pas question donc de poser aux 2 intervenants les questions qui gènent.
Une animatrice agressive et revèche veillait au grain avec l'aide zélé de 2 participants qui ont fini par exaspérer d'autres personnes venues pour s'informer.
La question est donc posée quant au rôle informatif des conseils de quartier. Le débat citoyen est-il possible dans le cadre des conseils de quartier ? Pour qui roulent-ils ?
Même question pour les atelages VEOLIA / Grand Lyon ?
Peut-on avoir confiance dans une collectivité dont le personnel, à très haut niveau, est mis au service des sociétés privés que ces mêmes personnels devraient surveiller de très près. Sachant que ces sociétés, insuffisamment contrôlées, pillent sans retenue les usagers du service public et celui de l'eau notamment.
Ceci pose d'autant plus question que ces interventions seraient courantes dans les instances de la participation citoyenne. ATTAC doit réagir via ses réseaux. Mais ces réseaux existent-ils ou ne sont-ils pas neutralisés par une certaine obséquiosité, même faible et parfois compréhensible du fait d'appartenances politques ?
Hier, personne n'était là ou alors bien caché.
Il est grand temps d'organiser des contre-débats dans les quartiers.
JL LIONSSIER ACER ATTAC 04 78 83 47 73
La réunion était animé par Claire Tillon ingénieur en chef au service de l'eau du Grand Lyon et Texier directeur d'exploitation de VEOLIA eau Grand Lyon.
1 h de présentation des services de distribution et d'assainissement par Claire Tillon dont une seule diapo consacrée à la facture d'eau et bien sûr aucune allusion aux enjeux de la révision quinquennale et encore moins aux surfacturations et au contrat pourri et léonin à l'origine du fait que l'eau du Grand Lyon soit la 3ième plus chère de France (lire, relire et diffuser dans vos réseaux les pièces jointes).
1 h de conseils puérils aux usagers par Texier pour économiser l'eau et bien comprendre l'eau (niveau maternelle et brosse à reluire).
Quant au débat, il nous fut pratiquement impossible de nous exprimer au titre que nous n'appartenions pas au conseil de quartier et qu'il était polémique d 'informer sur la chèreté du prix de l'eau et sur le rôle des élus dans cette situation.
Pas question donc de poser aux 2 intervenants les questions qui gènent.
Une animatrice agressive et revèche veillait au grain avec l'aide zélé de 2 participants qui ont fini par exaspérer d'autres personnes venues pour s'informer.
La question est donc posée quant au rôle informatif des conseils de quartier. Le débat citoyen est-il possible dans le cadre des conseils de quartier ? Pour qui roulent-ils ?
Même question pour les atelages VEOLIA / Grand Lyon ?
Peut-on avoir confiance dans une collectivité dont le personnel, à très haut niveau, est mis au service des sociétés privés que ces mêmes personnels devraient surveiller de très près. Sachant que ces sociétés, insuffisamment contrôlées, pillent sans retenue les usagers du service public et celui de l'eau notamment.
Ceci pose d'autant plus question que ces interventions seraient courantes dans les instances de la participation citoyenne. ATTAC doit réagir via ses réseaux. Mais ces réseaux existent-ils ou ne sont-ils pas neutralisés par une certaine obséquiosité, même faible et parfois compréhensible du fait d'appartenances politques ?
Hier, personne n'était là ou alors bien caché.
Il est grand temps d'organiser des contre-débats dans les quartiers.
JL LIONSSIER ACER ATTAC 04 78 83 47 73