
Island en 2020 le glacier serait totalement exploité pour produire de l'électricité
Le dossier
Le projet aura un impact direct sur 1000 km2 de terre, cependant on estime que les dommages définitifs toucheront environ 290 000 hectares , c'est-à-dire 3% de l'Islande et ceci sans compter les impacts indirects du projet mené à son terme sur l'environnement.
Un véritable écocide est en marche au coeur des Highlands islandais, l'une des rares régions encore sauvages d'Europe .
Vous trouverez une carte de l'Islande avant/après si tous les projets de barrage sont exécutés à cette adresse :
http://this.is/nature/before-after.html
D'une légalité toute relative, le projet Karanjukar a été imposé aux Islandais par une série de mensonges, de dissimulations et de désinformation orchestrés par l'Etat et cautionnés par la presse.
Attirées par la politique de développement industriel pratiquée actuellement en Islande plusieurs multinationales cherchent elles aussi à exploiter le filon hydro-électrique que l'Islande leur offre à un prix dérisoire (tellement dérisoire que le montant en est soigneusement caché à la population !).
Le 19 avril dernier dans le cadre de sa tournée Européenne Saving Iceland a organisé une rencontre à l'Assemblée Nationale invitée par l'ACME et soutenue dans sa démarche par SOS-Loire Vivante et l'European Rivers Network.
Le rassemblement de l'été 2005 contre le projet Karahnjukar a réuni des sympathisants du monde entier : venus du Royaume-Uni, d'Espagne, d'Autriche, de Suède, de Belgique, du Canada, d'Italie, de France, d'Allemagne, de Pologne, du Luxembourg et des Etats-Unis.
Le 21 juillet 2006, un camp international de protestation qui durera quatre semaines accueillera des centaines de protestataires Islandais et d'opposants de toutes nationalités dans le Parc National de Snaefell à proximité de l'un des sites en danger.
La mobilisation de cet été est notre ultime chance d'empêcher ce désastre écologique et humain de se poursuivre et de finir de se concrétiser, en effet, l'inondation totale de la région est prévue pour le 1 er septembre 2006.
Nous souhaiterions à cette occasion réunir les messages de soutien officiel d'associations qui se sentent partenaires dans le combat, engagées dans la protection de la nature, la défense des Droits de l'Homme, de l'environnement et contre l'appropriation de l'eau, représentatives de la force associative internationale afin de donner le maximum d'impact à notre lutte.
C'est pourquoi votre soutien officiel aurait une valeur inestimable pour nous.
Ces messages seront lus lors du rassemblement, envoyés aux décideurs, à tous les officiels et à la presse islandaise.
Nous vous remercions de l'attention que vous avez portée à ce courrier et vous prions d'agréer nos salutations les meilleures
Vous trouverez en pièce jointe une courte exposition du cas de Karanhjukar.
Camila Fernandez et Hanna Thorleifsdottir, représentantes en France de Saving Iceland et de Natturuvaktin (NatureWatch)
Le projet aura un impact direct sur 1000 km2 de terre, cependant on estime que les dommages définitifs toucheront environ 290 000 hectares , c'est-à-dire 3% de l'Islande et ceci sans compter les impacts indirects du projet mené à son terme sur l'environnement.
Un véritable écocide est en marche au coeur des Highlands islandais, l'une des rares régions encore sauvages d'Europe .
Vous trouverez une carte de l'Islande avant/après si tous les projets de barrage sont exécutés à cette adresse :
http://this.is/nature/before-after.html
D'une légalité toute relative, le projet Karanjukar a été imposé aux Islandais par une série de mensonges, de dissimulations et de désinformation orchestrés par l'Etat et cautionnés par la presse.
Attirées par la politique de développement industriel pratiquée actuellement en Islande plusieurs multinationales cherchent elles aussi à exploiter le filon hydro-électrique que l'Islande leur offre à un prix dérisoire (tellement dérisoire que le montant en est soigneusement caché à la population !).
Le 19 avril dernier dans le cadre de sa tournée Européenne Saving Iceland a organisé une rencontre à l'Assemblée Nationale invitée par l'ACME et soutenue dans sa démarche par SOS-Loire Vivante et l'European Rivers Network.
Le rassemblement de l'été 2005 contre le projet Karahnjukar a réuni des sympathisants du monde entier : venus du Royaume-Uni, d'Espagne, d'Autriche, de Suède, de Belgique, du Canada, d'Italie, de France, d'Allemagne, de Pologne, du Luxembourg et des Etats-Unis.
Le 21 juillet 2006, un camp international de protestation qui durera quatre semaines accueillera des centaines de protestataires Islandais et d'opposants de toutes nationalités dans le Parc National de Snaefell à proximité de l'un des sites en danger.
La mobilisation de cet été est notre ultime chance d'empêcher ce désastre écologique et humain de se poursuivre et de finir de se concrétiser, en effet, l'inondation totale de la région est prévue pour le 1 er septembre 2006.
Nous souhaiterions à cette occasion réunir les messages de soutien officiel d'associations qui se sentent partenaires dans le combat, engagées dans la protection de la nature, la défense des Droits de l'Homme, de l'environnement et contre l'appropriation de l'eau, représentatives de la force associative internationale afin de donner le maximum d'impact à notre lutte.
C'est pourquoi votre soutien officiel aurait une valeur inestimable pour nous.
Ces messages seront lus lors du rassemblement, envoyés aux décideurs, à tous les officiels et à la presse islandaise.
Nous vous remercions de l'attention que vous avez portée à ce courrier et vous prions d'agréer nos salutations les meilleures
Vous trouverez en pièce jointe une courte exposition du cas de Karanhjukar.
Camila Fernandez et Hanna Thorleifsdottir, représentantes en France de Saving Iceland et de Natturuvaktin (NatureWatch)