En cas de sécheresse, les centrales en bord de mer doivent donc être privilégiées par rapport à celles situées près de fleuves ou rivières pour ne pas aggraver la baisse des eaux fluviales.

" Les centrales nucléaires d'EDF situées en bord de mer devront être disponibles en cas de sécheresse, et être privilégiées par rapport à celles situées près de fleuves ou rivières pour ne pas aggraver la baisse des eaux fluviales.
Et ce, contrairement à l'été 2003 où un certain nombre d'entre elles étaient en arrêt pour maintenance en pleine canicule, a indiqué mardi le ministre de l'Industrie Patrick Devedjian".
Les centrales nucléaires toutes situées au bord d'un fleuve ou de la mer utilisent l'eau pour le refroidissement qu'elles rejetent ensuite directement ou après passage dans des tours aéroréfrigérantes.
Et ce, contrairement à l'été 2003 où un certain nombre d'entre elles étaient en arrêt pour maintenance en pleine canicule, a indiqué mardi le ministre de l'Industrie Patrick Devedjian".
Les centrales nucléaires toutes situées au bord d'un fleuve ou de la mer utilisent l'eau pour le refroidissement qu'elles rejetent ensuite directement ou après passage dans des tours aéroréfrigérantes.
Les effets de la sécheresse de l' ETE 2003 à ne pas reproduire mais toujours pas de solutions évoquées pour les rejets des eaux de refroidissement.

"Lors de l'été 2003, face au réchauffement et à la baisse des eaux, notamment sur le Rhône et la Garonne, EDF avait dû diminuer la production de plusieurs de ses installations nucléaires, provoquant ainsi une situation tendue pour l'approvisionnement d'électricité en France."
Selon le ministère de l'Ecologie, une sécheresse aussi sévère que celle de 1976 n'est pas à exclure cette année. Les précipitations ont été inférieures de 70% à la normale en automne et en hiver dans une grande partie du pays (Poitou-Charentes, Nord-Aquitaine, Midi-Pyrénées, Sud, Oise, Picardie).
Selon le ministère de l'Ecologie, une sécheresse aussi sévère que celle de 1976 n'est pas à exclure cette année. Les précipitations ont été inférieures de 70% à la normale en automne et en hiver dans une grande partie du pays (Poitou-Charentes, Nord-Aquitaine, Midi-Pyrénées, Sud, Oise, Picardie).