
Il a constaté que la réponse de l'Etat à ses propositions du 7 juillet « ne tient pas compte des propositions faites par l'entreprise sans offrir pour autant d'alternative».
Le groupe français attend du gouvernement qu'il lui permette de restructurer sa dette de quelque 700 millions de dollars (583 millions d'euros) , de réaliser des investissements au cours des prochaines années, et réclame une augmentation des tarifs d'environ 60 % sur trois ans, pour compenser la forte dévaluation du peso vis-à-vis du dollar.