fonctionnement génétoxique d'un organosphosphate largemment utilisé dans les pesticides établie par une jeune chercheuse slovène

Irena Hreljac a montré au cours de cette conférence qui a eu lieu en Turquie comment l'organophosphate parathion méthyl provoque des mutations dans les bactéries et des endommagements de l'ADN dans les cellules humaines et augmente le fonctionnement génotoxique d'un des agents cancérogènes le plus répandus, le benzopyrène.
En outre, l'analyse génétique de cellules qui ont été exposées au parathion méthyl lui a permis d'établir une hypothèse sur le mécanisme de fonctionnement génotoxique et co-génotoxique de parathion méthyl. Elle s'est concentrée plus particulièrement sur l'influence des pesticides organophosphates sur les cellules non nerveuses. Ces nouvelles recherches épidémiologiques ont donc montré une liaison entre l'exposition aux organophosphates et certaines formes de cancer.
Durant ses recherches, Irena Hreljac a ajouté aux cultures de cellules différentes concentrations de combinaisons de pesticides organophosphates. Cette recherche ,qui n'est pas encore achevée, a permis de conclure que les organophosphates, qui eux-mêmes ne sont pas mutagènes, provoquent une génotoxicité et les endommagements de l'ADN lorsqu'ils sont liés avec le benzopyrène.
source :
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/50760.htm
plus d'infos sur les pesticides sur notre site www.mdrgf.org
En outre, l'analyse génétique de cellules qui ont été exposées au parathion méthyl lui a permis d'établir une hypothèse sur le mécanisme de fonctionnement génotoxique et co-génotoxique de parathion méthyl. Elle s'est concentrée plus particulièrement sur l'influence des pesticides organophosphates sur les cellules non nerveuses. Ces nouvelles recherches épidémiologiques ont donc montré une liaison entre l'exposition aux organophosphates et certaines formes de cancer.
Durant ses recherches, Irena Hreljac a ajouté aux cultures de cellules différentes concentrations de combinaisons de pesticides organophosphates. Cette recherche ,qui n'est pas encore achevée, a permis de conclure que les organophosphates, qui eux-mêmes ne sont pas mutagènes, provoquent une génotoxicité et les endommagements de l'ADN lorsqu'ils sont liés avec le benzopyrène.
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