Je suis trés agréablement surpris et aussi content d'apprendre que malgré les idées communément répandues et entretenues dans certaines universités à travers le monde, que le Niger est en train de renaître (sur le plan environemental du moins). Il y quelques années j'aurais défendu le contraire car en 2005, j'avais fait un DESS en Gestion des risques naturels et mes travaux de fin d'études portaient en partie sur la pression demographique commne facteur entre autres de désertification.
La présente étude au-delà de sa portée scientifique comporte une dimension sociale, politique et économique car elle permet à tout un peuple que beaucoup d'études pessimistes ont desorienté, de retouver espoir dans leur pays, en la terre qui les a jusque-là nourris
Moustapha harouna
Ingenieur des travaux publics et des mines
Specialiste en gestions des risque naturels