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21/11/2022

Sedif : passez à l'eau engagée

JEAN-LUC TOULY
02/09/2019

L'eau de Saint-Martin toujours polluée

JEAN-LUC TOULY
22/06/2018

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JEAN-LUC TOULY
A la recherche de la Re-municipalisation

L'importance de l'eau La Journée mondiale de l'eau, qui a lieu le 22 mars de chaque année depuis 1993, est une célébration des Nations Unies qui met l'accent sur l'importance de l'eau douce.  20/04/2021

La Journée mondiale de l'eau célèbre l'eau et sensibilise à la situation des 2,2 milliards de personnes qui vivent sans accès à de l'eau salubre. Il s'agit de prendre des mesures pour lutter contre la crise mondiale de l'eau.
En France dans les médias, la question de l'eau se résume depuis des mois par l'OPA de Veolia sur Suez les 2 premières multinationales de l'eau dans le monde, une histoire de dizaines de milliards d'euros et non un objectif d'un accès à l'eau pour tous indispensable à la vie : l'eau, l'or bleu, le pétrole du 21ème siècle !!!
Triste spectacle en ces temps de pandémie particulièrement en Guadeloupe et Martinique
Bonjour la concurrence

MARSEILLE : MARTINE VASSAL EXPERTE DU CONFLIT D’INTÉRÊTS, PAR MICHÈLE PONCET RAMADE (*) PAR MARC LAIMÉ, LUNDI 15 JUIN 2020  16/06/2020

Depuis les années soixante la Société des eaux de Marseille (SEM) devenue en 2014 Société des eaux de Marseille Métropole (SEMM), aujourd’hui filiale de Veolia, a construit un empire, en France et à l’étranger, à l’ombre de la Bonne Mère. Sa gestion rattrape aujourd’hui la candidate (LR) à la mairie de Marseille.

"En 2012 la Communauté Urbaine de Marseille (CUM), ancêtre de Marseille Provence Métropole (MPM), doit choisir un nouveau mode de gestion, à l’expiration du contrat de la gestion de l’eau avec la SEM, datant de 1992.

Martine Vassal est alors depuis des années trésorière du Conseil Mondial de l’Eau, l’instrument de lobbying des multinationales françaises du secteur dirigé par Loïc Fauchon, président de la SEM, qui organisera en mai 2012 un Forum mondial de l’eau au parc Chanot.

C’est toujours elle qui va présider l’ACER, une commission "écoresponsable" chargée de l’eau et de l’assainissement, et du recyclage des déchets, créée par la Communauté urbaine de Marseille, qui va préparer le choix du futur mode de gestion de l’eau.

Ce conflit d’intérêt manifeste aurait dû, à lui seul, invalider la signature du contrat.

Le nouveau contrat de l’eau, accordé à la SEM par MPM, est signé en 2013.

Un contrat évalué à 2,25 milliards d’euros sur quinze ans.

Après avoir lu et étudié ce contrat, un recours est déposé par quelques élus d’EELV en décembre 2013. Il met notamment en cause le rachat injustifié à la SEM à la fin de l’ancien contrat, du parc de compteurs d’eau, initialement évalué à 2,8 millions d’euros.

Une copie de ce recours est adressée au préfet. Celui-ci saisit la Chambre régionale des comptes (CRC), qui stigmatise de nombreuses anomalies dans un rapport rendu public en avril 2014, après les municipales.

La CRC critiquait vertement les conditions d’attribution du contrat, estimant que Marseille Provence Métropole n’avait procédé à "aucun débat" sur la durée des contrats qu’elle jugeait "manifestement excessive".

Le Tribunal administratif (TA) donne raison aux requérants en juin 2017 et condamne la communauté urbaine (aujourd’hui Métropole), dans l’affaire des compteurs. La SEMM fait appel de cette décision.

La Cour d’Appel Administrative (CAA) de Marseille a ensuite - bien opportunément -, cassé le 4 février 2020 le premier jugement favorable aux usagers pour un motif de pure forme : Marseille Provence Métropole avait entre temps annulé en 2015 la première délibération de 2013 relative aux compteurs, remplacée par une seconde délibération en 2015, qui ramenait le coût de la reprise des compteurs de 2,8 millions d’euros à 2,1 millions...

La CAA ne s’est donc pas prononcée sur le fond de l’affaire des compteurs. Les usagers, comme l’avait établi le premier jugement du TA, avaient bel et bien raison.

Les compteurs devaient faire retour gratuitement à la collectivité. Et ce n’est que par un argument bien artificiel, de forme, que les usagers ont perdu en appel.

Dommage car leur argumentaire ne pourra pas, au terme de ce véritable tour de passe-passe faire jurisprudence.

Le Parquet avait ouvert une information le lendemain du jugement du Tribunal administratif. Martine Vassal, présidente du Conseil départemental et Loïc Fauchon, P-DG de la SEMM, étaient placés en garde à vue le 22 juin 2017.

Leurs bureaux et domiciles, ainsi que le siège de la SEMM, et le bureau de la Direction générale des services (DGS) de la Communauté urbaine de Marseille, avaient déjà été perquisitionnés en novembre 2015. Jean Claude Gaudin est entendu comme témoin assisté.

L’information ouverte pour favoritisme et prise illégale d’intérêt a depuis été délocalisée au Parquet national financier.

On a découvert depuis lors que la SEM avait engrangé 8 millions d’euros pour… se succéder à elle-même en 2013. Avant d’y ajouter en 2014 et 2015 trois fois plus de bénéfices que ceux, plafonnés pourtant par le contrat, soit 19,1 millions d’euros, au lieu de 6,3 millions…

Ce contrat de l’eau, Martine Vassal n’en parle plus. Il faut pourtant s’en souvenir avant de confier les clés de Marseille à pareille experte du conflit d’intérêt."

(*) Michèle Poncet Ramade,

Présidente de l’association SOS Eau et Nature en région marseillaise

Email : soseaunature@gmail.com


Ressources naturelles.La carte de la pénurie d’eau qui menace un quart de l’humanité  02/09/2019

La planète se dirige vers une importante pénurie d’eau, s’alarment les chercheurs du World Resources Institute. À l’horizon 2030, environ 470 millions de personnes seront en proie à un manque d’eau avec, dans la foulée, des répercussions sur la santé publique et des troubles sociaux.


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“Plusieurs pays représentant un quart de la population mondiale sont de plus en plus confrontés à la perspective de manquer d’eau.” C’est la conclusion du World Resources Institute, qui a publié un rapport alarmant sur les ressources en eau de la planète le 6 août.

Dix-sept pays à travers la planète se trouvent actuellement en situation de “stress hydrique extrêmement grave”, c’est-à-dire qu’ils consomment presque la totalité de l’eau dont ils disposent. Plus parlant encore, le New York Times a élaboré plusieurs graphiques montrant l’évolution des ressources en eau jusqu’en 2040.

Concrètement, parmi les pays les plus à risque, beaucoup sont aujourd’hui “des pays arides ; certains gaspillent le peu d’eau dont ils disposent. Plusieurs sollicitent trop les nappes phréatiques, qu’ils devraient laisser se reconstituer et économiser pour les périodes de sécheresse”. Le réchauffement climatique avec ses précipitations plus erratiques et les températures élevées vient aggraver le problème.

Les villes grandes gourmandes
Mais les endroits qui posent le plus de problèmes sont les grandes métropoles, explique le quotidien américain, telles que São Paulo, au Brésil, Madras (Chennai), dans l’est de l’Inde, ou encore Le Cap, en Afrique du Sud. Toutes ces villes ont en commun d’avoir connu récemment des pénuries critiques et d’être extrêmement gourmandes en eau.

Ainsi, la ville de Mexico “pompe l’eau à une telle vitesse qu’elle est littéralement en train de sombrer. Dacca, au Bangladesh, sollicite tellement sa nappe phréatique pour ses habitants et ses usines de confection qu’elle va chercher l’eau dans des aquifères situés à des centaines de mètres de profondeur. Les habitants de Madras ont pompé la nappe phréatique pendant des années et constatent maintenant qu’elle est à sec”. En 2030, 470 millions de personnes dans 45 villes seront concernées.

Et la dynamique est compliquée à inverser, souligne le New York Times, qui donne tout de même quelques pistes suivant le principe “à problèmes locaux, solutions locales” : la (re)mise en état des systèmes de distribution d’eau défectueux, le recyclage des eaux usées, le stockage de l’eau de pluie et la transformation progressive d’une agriculture consommatrice d’eau comme le riz, qui serait remplacée par des cultures de végétaux moins “assoiffés”, comme le millet
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Comment l’humanité pourrait-elle éviter une guerre de l’eau ? En moins de 10 ans, 279 conflits autour de l'eau ont éclaté  02/09/2019

Depuis le début des années 2000, la sécheresse graduelle de notre planète, liée au changement climatique, ne cesse de diviser la communauté scientifique. En 2008, certains se posaient la question pour une ville en pleine Europe comme Barcelone, qui pourrait envisager d’importer de l’eau potable de l’autre côté de la frontière française. Aujourd’hui, cette inquiétude a largement diminué, du moins pour les grandes métropoles européennes. En revanche, la problématique, elle, demeure à l’échelle mondiale.

UN THÈME RÉCURRENT ?
Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, la plupart des populations se demandaient quand pourrait avoir lieu une Troisième Guerre mondiale. Aujourd’hui, la situation s’est quelque peu apaisée en Europe, et les inquiétudes ont radicalement changé. Avec la crise économique de 2008, et les conflits qui se déroulent à l’extérieur de l’Europe, cette éventualité n’est plus. Le prochain thème, qui alimenterait le grand conflit mondial, s’est, de plus en plus, depuis des années, concentré autour de l’eau. Ressource vitale pour l’Homme, que ce soit directement ou pour les cultures, l’eau potable est directement liée au changement climatique.

Le lien est évident, et les deux sont indissociables. Premièrement, comme vous le savez tous, le changement climatique qui réchauffe notre planète altère avec une effrayante efficacité nos conditions météorologiques. Plusieurs endroits de la planète connaissent des records de sécheresse et de chaleur. En France, de plus en plus de canicules frappent nos régions. Certains avancent même des pics de 50° à l’horizon 2050 pour notre métropole.

L’un des endroits les plus fidèles et criants pour observer les effets dramatiques du changement climatique est certainement l’Australie. Le pays, séculaire, enchaîne des sécheresses avec des averses torrentielles, le tout menant à des dégâts colossaux. Parfois même, quand le nord-est du pays est percuté de plein fouet par des moussons exceptionnelles, le sud, lui, est plongé dans une sécheresse hors normes. Le mois de janvier 2019 a été un record en Australie méridionale. C’est le plus chaud jamais enregistré dans la région. Au sein de certaines régions, le thermomètre flirtait même avec les 50°.



UN CONFLIT INÉLUCTABLE
Que ce soit l’Australie ou la France, n’importe quel lieu sur la planète est touché par le changement climatique. Les échelles ne sont, pour le moment, pas les mêmes, mais on s’aperçoit déjà qu’à Paris, 78 mm de pluie en 24 heures ont été atteints l’année dernière, constituant un record depuis 1873. Les étés sont de plus en plus chauds, les températures sont déréglées. Ce n’est, en revanche, pas la région du monde la plus sujette à la pénurie d’eau.

Des études ont montré que la demande mondiale en eau va augmenter de 20 à 30 % d’ici 2050. La population mondiale est de plus en plus nombreuse, et la sécheresse s’intensifie. Ainsi, la crainte d’un problème de type hydrique est de plus en plus importante. Plus de 4 milliards de personnes, c’est-à-dire environ la moitié de l’humanité, connaissent une importante pénurie d’eau pendant au moins un mois par an.

La crainte autour de la ressource hydrique, ou ressource en eau, s’étend à toutes les eaux, mais particulièrement l’eau potable. Que ce soit pour l’homme et sa population, le bétail ou encore les plantes, l’eau constitue une ressource limitée, que ce soit en quantité ou en qualité. Une étude a montré que depuis 2010, 279 conflits, au minimum, ont éclaté autour de l’eau. Les zones les plus préoccupantes sont le Nil, le Gange, l’Indus, la relation Tigre-Euphrate et le Colorado. Plus globalement, les pays risquant le plus de manquer d’eau, sont, à terme, situés en Afrique et en Asie.


COMMENT RÉAGIR ?
Afin de répondre à cette nouvelle demande portant sur une ressource de plus en plus rare, les scientifiques s’intéressent à de nouvelles méthodes, avant-gardistes. On peut notamment citer les solutions permettant de filtrer l’eau potable depuis l’air, afin de la convertir en eau consommable. Plus généralement, au lieu de chercher à en produire toujours plus, certaines régions doivent impérativement arrêter la surexploitation de la ressource.

La pollution est également un des enjeux majeurs concernant l’accès à l’eau : la réduire pourrait apparaître comme une solution efficace à court terme. Plus de 50 millions d’Américains boivent par exemple une eau du robinet contaminée par le plomb, polluants et des bactéries fécales. En Russie, les trois quarts des lacs, mais également des rivières, comportent une eau impropre à la consommation, à cause des systèmes de traitement trop usés. Quoi qu’il en soit, les conflits risquent de se multiplier dans les prochaines années. La ressource étant vitale, certains pays pourraient bien utiliser la force, notamment sur des questions autour de barrages. L’eau potable est d’ores et déjà une question diplomatique…


La pollution de l’eau, une "crise invisible"  02/09/2019

La Banque mondiale a publié mardi 20 août un rapport dans lequel elle alerte sur la présence de nitrates, de métaux lourds et de micro-plastiques dans les eaux du monde entier

Aucun pays n’est épargné par la pollution de l’eau. C’est la conclusion d’un rapport publié par la Banque mondiale le 20 août. "Il est clair que le statut de pays à haut revenu n'immunise pas contre des problèmes de qualité de l'eau" développe le rapport. Parmi les polluants relevés par l’institution : les nitrates, les métaux lourds et les micro-plastiques.

Les bébés et les femmes enceintes en danger
Cette "crise invisible" est malheureusement largement sous-estimée, selon la Banque mondiale. Elle précise que plus de 80% des eaux usées dans le monde sont déversées dans l'environnement sans être traitées. Ce chiffre monte même à 95% dans certains pays en développement.

Le rapport évoque notamment la présence d'azote, utilisé dans les fertilisants en agriculture. Cette substance se transforme ensuite en nitrates. Or, trop de nitrates ingérés via l'eau potable entraîne un manque d'oxygène dans le sang, qui peut être fatal pour les nourrissons.

Une étude menée notamment Afrique, en Inde et au Vietnam a par ailleurs montré que les enfants exposés à de hauts niveaux de nitrates pendant leurs trois premières années de vie grandissaient moins que les autres. "Une interprétation de ces conclusions suggère que les subventions pour financer les engrais entraînent des dommages pour la santé humaine qui sont aussi grands, peut-être même plus grands, que les bénéfices qu'ils apportent à l'agriculture", affirme la Banque mondiale.

Des micro-plastiques dans 93% des eaux embouteillées
Autre problème soulevé dans le rapport : la salinité des eaux dans les zones côtières de faible altitude. Au Bangladesh, par exemple, 20% de la mortalité infantile dans les régions côtières est attribuée à l'eau salée. Elle est également dangereuse pour les femmes enceintes.

La Banque mondiale s’inquiète en outre de la pollution aux micro-plastiques. On en détecte dans 80% des sources naturelles, 81% des eaux du robinet municipales et 93% des eaux embouteillées. Cependant, le seuil à partir duquel ces polluants sont inquiétants pour la santé n’a pas été déterminé.

Aussi l’institution de développement estime-t-elle qu’il faut mieux mesurer la qualité de l'eau, et communiquer les résultats aux populations. Il y a aujourd’hui "un besoin urgent pour d'importants investissements dans des usines de traitement des eaux, spécialement dans les régions très peuplées", conclue-t-elle.

JT 20H TF1 22 août : Gestion de l'eau : privée ou publique, que choisir ?  02/09/2019

Dans le passé, le service qui gère l'eau qui sort du robinet a été largement privatisé. Mais depuis, de nombreuses villes ont voulu reprendre la main, soit en créant leur propre structure, soit en mettant la pression sur leur prestataire. Reportages à Grenoble et à Toulouse.

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Vayrana lance sa pétition pour une eau moins chère, de qualité et gérée en direct par la CCPR  19/11/2018

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Jean Luc Touly
Bonjour,

Nous estimons que l'EAU, BIEN COMMUN de L'HUMANITE, doit échapper au monde marchand.

En conséquence nous DEMANDONS AUX ELUS RESPONSABLES de la Communauté de Communes du Pilat Rhodanien de décider d'assurer la gestion directe des services publics de l'eau et de l'assainissement dès 2020.

Avec comme objectifs :

* Supprimer la partie fixe de la facture (pas d'abonnement),
* Pas d'augmentation du prix de l'eau inconsidérée,
* Garder la compétence de l'exploitation de l'eau au sein de la CCPR

Si vous êtes d'accord avec ces objectifs aidez-nous en signant la pétition ici

Le comité d'administration Vayrana.

Assises de l'eau : Les Xèmes programmes pourraient jouer les prolongations  14/06/2018

article à lire://www.environnement-magazine.fr/eau/article/2018/06/13/119634/assises-eau-les-xemes-programmes-pourraient-jouer-les-prolongations.php

Info-Tours.fr : Tours Métropole : le grand débat sur l’eau attendra  22/04/2018

Le sujet a été évoqué vendredi par les élus

Faut-il une grande régie publique pour s’occuper de la distribution de l’eau dans les 22 communes de la métropole de Tours ? Depuis plusieurs mois déjà, des associations ont engagé des démarches qui vont dans ce sens et continuent de s’inquiéter des reports de délégations de service public (Mettray, Joué, Chambray) ou des expertises mettant en avant les avantages d’une gestion des réseaux d’eau par le privé.

Vendredi soir, des bénévoles d’Eau Touraine étaient donc réunis devant le siège de l’agglomération aux Deux-Lions de Tours pour faire valoir leurs arguments auprès des élus. Une thèse également portée devant l’assemblée par la communiste Michèle Launay : « il faut bien commencer un jour sinon les DSP des communes vont se terminer les une saprès les autres sans que la métropole prenne le temps de mettre un service en place. Le traitement de l’eau est différent pour chaque commune, plaçant ainsi les usagers dans une très grande inégalité de traitement notamment au niveau de la tarification (0,78€ le m3 à plus de 2€ le m3 selon les communes, ndlr). C’est pourquoi il serait urgent d’acter une échéance proche de fin de l’ensemble des DSP pour réfléchir à un tarif unique ou une tarification progressive. »

En réponse, le président Philippe Briand a rappelé sa volonté de mise en place d’une grande régie publique de l’eau à l’échelle métropolitaine, « s’il n’y avait que moi il y a belle lurette qu’il n’y aurait plus qu’une seule régie » (aujourd’hui seules Tours, St Cyr, St Pierre et St Avertin en ont une) mais « on ne peut pas tout conduire en même temps » a-t-il ajouté pour expliquer que le sujet ne serait pas abordé tout de suite, notamment faute de moyens humains dans les services de l’institution (elle est encadrée par l’État sur ses dépenses de fonctionnement et ne peut pas recruter autant qu’espéré). Le débat devrait néanmoins être à l’ordre du jour en 2019.


REUNION PUBLIQUE SUR L'EAU POTABLE ET L'ASSAINISSEMENT AU FOYER RURAL DE CLERE LES PINS LE 23 MARS 2018 A 19H30 (Communauté de communes Touraine Ouest val de Loire)  19/03/2018

L'association EAU SAVIGNE SUR LATHAN HOMMES invite les élus et habitants de Cléré les Pins, Ambillou, Mazières de Touraine, Avrille les Ponceaux, Saint Symphorien les Ponceaux, à venir s'informer sur les dérives de la gestion privée (factures trop élevées, 23% de fuites d'eau et rythme de renouvellement des canalisations de 1 000 ans au lieu de 50 ans) et sur la demande de création d'une régie publique de l'eau potable et de l'assainissement à la communauté de communes.

Cette régie pourrait permettre de faire baisser considérablement les prix de l'eau potable et des eaux usées pour les usagers (de 20 à 35%) contrairement à la délégation de ce service public de notre bien commun vital

L'inertie, l'incompétence des élus voir certains liens entre quelques élus politiques et ces multinationales (Veolia, Saur, Nantaise des Eaux filiale de Suez) peuvent expliquer que l'intérêt général ne prévaut pas toujours

Notre réunion publique se déroulera en présence de JEAN LUC TOULY ancien salarié d'un des 3 groupes qui exerce dans les domaines de la gestion privée de l'eau potable et de l'assainissement, il a écrit de nombreux livres et est passé dans les médias en tant que lanceur d'alerte national pour expliquer les dérives de cette gestion privée.
Seront présents également des représentants des associations membres du collectif EAU TOURAINE.
Nous vous attendons nombreux à cette réunion le 23 mars à CLERE LES PINS à 19h30 au foyer rural, car il faut une large mobilisation des habitants de tous les villages pour obtenir la création de cette régie publique de l'eau potable et de l'assainissement.

Signez, partagez, faites connaitre notre pétition dont le lien se trouve sur notre site internet : caasesh.jimdo.com
Pour nous contacter par mail: eslh@netc.fr

APPEL A UNE MOBILISATION CITOYENNE Habitants des communes des anciens cantons de CHATEAU LA VALLIERE et de LANGEAIS, MOBILISEZ VOUS !  13/03/2018

Lire

Les compétences EAUX USEES et EAU POTABLE vont prochainement être transférées à notre communauté de communes.

Ces services publics risques d'être privatisés, ce qui pourrait faire augmenter considérablement nos factures !

EXIGEONS LA CREATION D'UNE REGIE PUBLIQUE de l'eau potable et de l'assainissement, qui permet d'avoir une bonne qualité du service public, une bonne réactivité et une maîtrise des prix car il n'y a pas d'actionnaires à qui il faut distribuer des dividendes !

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